Guide d'installation et de configuration de Linux | ||
---|---|---|
Précédent | Annexe A. Options de configuration du noyau | Suivant |
Ce menu contient l'ensemble des options relatives aux gestionnaires de péripériques pris en charge par Linux.
L'option « Select only drivers that don't need compile-time external firmware » permet de n'afficher que les options relatives aux gestionnaires de périphériques pour lesquels des fichiers sources complémentaires à ceux fournis avec le noyau ne sont pas nécessaires. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Prevent firmware from being built » permet de désactiver la compilation des firmware fournis avec le noyau. En général, le firmware ne doit être recompilé que lors d'une mise à jour de firmware et non du noyau, aussi cette option doit-elle généralement activée. La réponse recommandée est donc 'Y'.
L'option « Userspace firmware loading support » permet d'inclure le support du chargement du firmware des périphériques à chaud, quand bien même aucun gestionnaire de périphérique présent dans le noyau ne le nécessiterait. Cela permet de disposer de cette fonctionnalité pour les gestionnaires de périphériques externes fournis sous forme de module. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Driver Core verbose debug messages » permet d'activer les messages de trace du système de base des gestionnaires de périphériques. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Managed device resources verbose debug messages » permet d'activer les messages de trace des pilotes de périphériques dont la gestion des ressources est totalement prise en charge par le noyau. Ces pilotes de périphériques sont un nouveau type de pilotes, qui utilisent des fonctions avancées du noyau permettant de gérer automatiquement les ressources systèmes. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Connector - unified userspace <-> kernelspace linker » permet d'activer une technique de communication générique entre le noyau et les processus utilisateurs, basée sur l'interface Netlink du noyau. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Report process events to userspace » permet d'ajouter un point de connexion permettant de remonter les événements concernant la vie des processus vers l'espace utilisateur. La réponse recommandée est 'N'.
Ce menu vous permet d'activer la gestion des puces de mémoire Flash ou autres périphériques de mémoire persistante. Ce genre de périphérique est généralement utilisé pour réaliser des systèmes de fichiers sur les systèmes embarqués, qui ne disposent pas nécessairement de disques magnétiques. L'option « Memory Technology Device (MTD) support » vous donnera accès aux choix des différents pilotes pour les matériels supportés. La réponse recommandée est 'N'. Les sous-menus de ce menu sont les menus « RAM/ROM/Flash chip drivers », « Mapping drivers for chip access », « Self-contained MTD device drivers », « NAND Flash Device Drivers », « OneNAND Flash Device Drivers » et « UBI - Unsorted block images ». Ce dernier menu permet de prendre en charge les fonctions d'aggrégation de périphériques en mémoire Flash tout en prenant en compte la spécificité de ces mémoires (en particulier le faible nombre de réécritures possible avant destruction de la mémoire).
L'option « Parallel port support » permet d'activer la gestion du port parallèle au niveau du noyau. Il est recommandé de le faire sous la forme de module, car le port parallèle n'est pas souvent utilisé. De toutes façons, il est recommandé d'activer cette fonctionnalité, en répondant par 'Y' ou par 'M'. Quelle que soit la réponse donnée, on pourra ainsi utiliser le port parallèle pour plusieurs fonctionnalités différentes (imprimante, lecteurs externes, etc.). Répondez par 'Y' ou par 'M'.
L'option « PC-style hardware » permet d'indiquer au noyau que le port parallèle est compatible PC. Si vous compilez le noyau pour un PC ou un Alpha, répondez par 'M' à cette question.
L'option « Multi-IO cards (parallel and serial) » permet de prendre en charge les ports parallèle et série additionnels fournis par des cartes PCI. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Use FIFO/DMA if available (EXPERIMENTAL) » permet de demander au noyau d'utiliser une interruption et un canal DMA pour accéder au port parallèle, si le chipset de la carte mère le supporte. Cela permet généralement d'accélérer les entrées / sorties sur le port parallèle, en évitant au noyau d'utiliser un mécanisme de consultation périodique de l'état du port afin de savoir s'il est capable d'accepter des données ou si des données doivent être lues. Notez que, par défaut, le noyau n'utilisera aucune ligne d'interruption pour accéder au port parallèle, et ce même si vous avez activé cette option. Pour changer le comportement par défaut, vous devrez passer le paramètre parport au noyau lors de son démarrage, suivi de l'adresse du port et de la ligne d'interruption à utiliser, séparés par une virgule. Si vous avez demandé la compilation du gestionnaire de ports parallèles sous forme de module, vous devrez spécifier ces options dans le fichier /etc/modprobe.conf. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « SuperIO chipset support (EXPERIMENTAL) » permet d'activer la gestion des chipset SuperIO présents sur certaines cartes mères. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support for PCMCIA management for PC-style ports » permet d'activer la gestion des ports parallèles via les mécanismes de gestion des cartes PCMCIA. La réponse recommandée à cette question est 'N'.
L'option « AX88796 Parallel Port » permet d'activer la gestion des ports parallèles présents sur les cartes réseau AX88796. Ce pilote de périphérique est totalement indépendant du pilote de périphérique pour ces cartes réseau et peut donc être activé seul. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « IEEE 1284 transfer modes » permet de paramétrer le gestionnaire de ports parallèles pour utiliser les communications bidirectionnelles du port. Cette option est utile si l'on utilise une imprimante capable d'indiquer son état à l'ordinateur. Notez que pour que cette fonctionnalité soit disponible, vous devez également paramétrer votre BIOS pour que le port parallèle soit en mode EPP ou ECP. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Plug and Play support » permet d'activer la gestion du plug and play au niveau du noyau. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « PnP Debug Messages » permet d'activer la gestion des traces du gestionnaire de périphériques Plug and Play. Cela permet de déboguer la configuration des périphériques Plug and Play plus facilement. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « ISA Plug and Play support » permet d'activer les fonctionnalités Plug and Play pour les périphériques ISA. Il est ainsi possible d'éviter d'avoir à utiliser les outils isapnp et pnpdump, et d'éviter la compilation des gestionnaires de ces périphériques en modules. La configuration de ces périphériques ISA Plug and Play en est grandement simplifiée. Le bus ISA n'étant plus utilisé de nos jours, il est donc recommandé de répondre par 'N' à cette question.
L'option « Plug and Play BIOS support (EXPERIMENTAL) » permet d'activer la détection des fonctionnalités Plug and Play des cartes mères via le BIOS. Leur configuration est donc assurée de ne pas entrer en conflit avec celle des périphériques Plug and Play ISA présents. La réponse recommandée est 'N'. Si vous activez cette option, vous aurez accès à l'option « Plug and Play BIOS /proc interface », qui vous permettra d'accéder aux informations du BIOS Plug and Play via ls système de fichiers virtuels /proc/.
L'option « Plug and Play ACI support (EXPERIMENTAL) » permet d'activer la détection des fonctionnalités Plug and Play des cartes mères via l'interface ACPI. La plupart des machines récentes ne disposent plus de bus ISA, mais les périphériques classiques sont toujours présents. Ces périphériques sont généralement déclarés dans la configuration ACPI, et cette option permet d'obtenir leurs paramètres via cette interface. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Normal floppy disk support » permet d'activer la gestion des lecteurs de disquettes sous Linux. Vous pouvez répondre par 'Y' à cette question si vous disposez d'un lecteur de disquettes.
L'option « PS/2 ESDI hard disk support » permet d'activer la gestion des disques ESDI sur les ordinateurs de type PS/2. Cette option n'est disponible que si vous avez activé la gestion du bus MCA à l'aide de l'option « MCA support » du menu « General setup ». La réponse recommandée est 'N'.
L'option « XT hard disk support » permet d'activer la gestion des disques durs XT. Ce sont de très vieux disques durs, que plus personne n'utilise. Répondez par 'N' à cette question.
L'option « Parallel port IDE device support » permet d'activer la gestion des périphériques IDE connectés sur port parallèle. Il est recommandé de placer ce pilote en module, car les lecteurs sur port parallèle ne sont pas toujours connectés à l'ordinateur. Répondez par 'M' à cette question.
L'option « Parallel port IDE disks » permet d'activer le support des disques IDE connectés sur port parallèle. Si vous disposez d'un tel disque, répondez par 'M' à cette question, et choisissez le protocole de communication sur port parallèle correspondant dans l'une des options suivantes. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Parallel port ATAPI CD-ROMs » permet d'activer la gestion des CD-ROM ATAPI connectés sur port parallèle. Si vous disposez d'un tel lecteur, répondez par 'M' à cette question, et choisissez le protocole de communication sur port parallèle correspondant dans l'une des options suivantes. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Parallel port ATAPI disks » permet d'activer la gestion des disques ATAPI connectés sur port parallèle. Si vous disposez d'un tel disque, répondez par 'M' à cette question, et choisissez le protocole de communication sur port parallèle correspondant dans l'une des options suivantes. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Parallel port ATAPI tapes » permet d'activer la gestion des lecteurs de bandes connectés sur port parallèle. Si vous disposez d'un tel lecteur, répondez par 'M' à cette question, et choisissez le protocole de communication sur port parallèle correspondant dans l'une des options suivantes. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Parallel port generic ATAPI devices » permet la gestion de périphériques ATAPI non standards connectés au port parallèle. Les logiciels utilisateur peuvent envoyer des commandes ATAPI spécifiques à ces périphériques par l'intermédiaire de ce gestionnaire. En particulier, les graveurs de CD connectés sur port parallèle utilisent cette fonctionnalité. Si vous disposez d'un graveur de CD sur port parallèle, répondez par 'M' à cette question, et choisissez le protocole de communication sur port parallèle correspondant dans l'une des options suivantes. La réponse recommandée est 'N'.
Les options qui suivent permettent de choisir les protocoles de communication sur port parallèle adaptés à votre matériel. Vous devez en choisir au moins un si vous comptez utiliser un périphérique IDE connecté sur le port parallèle. Les réponses recommandées sont 'N' pour les protocoles que votre matériel ne comprend pas.
L'option « Compaq SMART2 support » permet d'activer la gestion des cartes contrôleurs Smart Array de Compaq. À moins que vous ne disposiez d'une telle carte, la réponse recommandée est 'N'.
L'option « Compaq Smart Array 5xxx support » permet d'activer la gestion des cartes contrôleurs Smart Array 5xxx de Compaq. À moins que vous ne disposiez d'une telle carte, la réponse recommandée est 'N'. Si vous activez cette fonctionnalité, vous pourrez également activer l'option « SCSI tape drive support for Smart Array 5xxx », qui permet d'utiliser des périphériques SCSI connectés sur les contrôleurs Smart Array 5xxx. La réponse recommandée pour cette option est également 'N'.
L'option « Mylex DAC960/DAC1100 PCI RAID Controler support » permet d'activer la gestion des contrôleurs RAID Mylex. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Micro Memory MM5415 Battery Backed RAM support (EXPERIMENTAL) » permet d'activer la gestion des cartes mémoires alimentées par batterie MM5415. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Virtual block device » permet d'activer la gestion des périphériques de type bloc du système hôte dans les systèmes virtualisés par UML (User Mode Linux). Cela permet d'accélérer fortement les entrées/sorties dans ces systèmes. La réponse recommandée est donc 'Y'.
L'option « Always do synchronous disk IO for UBD » permet de faire en sorte que les opérations d'écritures sur les périphériques virtuels des systèmes virtualisés par UML sont toujours réalisées de manière synchrone au niveau du système hôte. Cela permet de faire fonctionner correctement les systèmes de fichiers journalisés pour ces systèmes. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Loopback device support » permet d'utiliser des fichiers classiques pour y placer un système de fichiers. Cela est essentiellement utilisé pour créer des images de CD et les tester avant de les graver. Si vous disposez d'un graveur de CD-ROM, il est recommandé de répondre 'Y' à cette question. Sinon, répondez 'M', pour vous réserver la possibilité d'utiliser des systèmes de fichiers stockés dans des fichiers classiques.
L'option « Cryptoloop Support » permet d'activer le chiffrement des disques durs par les algorithmes de chiffrement de Linux, en passant par l'intermédiaire d'un système de fichiers loopback. Cette option nécessite d'inclure le support des algorithmes de chiffrement, accessibles dans le menu « Cryptographic options ». Cette option n'est pas cryptographiquement sûre, et ne permet pas de stocker des systèmes de fichiers journalisés de manière fiable. Aussi n'est-elle pas recommandée, et on lui préférera les fonctionnalités de gestion des volumes disponibles dans le menu « Multi-device support (RAID and LVM) ». La réponse recommandée pour cette option est donc 'N'.
L'option « Network block device support » permet d'accéder aux fichiers spéciaux de périphériques de type bloc d'un ordinateur distant par l'intermédiaire du réseau. Cette fonctionnalité est peu utilisée, la réponse recommandée est donc 'N'.
L'option « Promise SATA SX8 support » permet d'activer la gestion des contrôleurs Serial ATA SX8. Vous devez l'activer si vous en disposez d'un. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Low Performance USB Block driver » permet de prendre en charge certains périphériques de masse USB très lents. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « RAM disk support » permet d'activer la gestion des disques virtuels (chargés en mémoire). Notez que cette option n'est pas nécessaire pour activer les système de fichiers en mémoire (ramfs), car ceux-ci sont intégrés d'office dans le noyau. Elle ne sert qu'à créer des périphériques de type bloc afin de fixer la taille des disques virtuels (le système de fichiers ramfs ne nécessite pas ces périphériques et adapte dynamiquement sa taille en fonction des besoins). Ces disques virtuels sont généralement utilisés pour créer des disquettes de réparation, qui chargent les utilitaires systèmes sur un disque en mémoire. La réponse recommandée est donc 'N' pour un système normal, et 'Y' pour un système destiné à être placé sur une disquette de réparation.
L'option « Default number of RAM disks » permet de fixer le nombre de disques virtuels par défaut. La valeur recommandée est '16'.
L'option « Default RAM disk size (kbytes) » permet de fixer la taille par défaut des disques virtuels. La taille recommandée est de 4096 Ko.
L'option « Default RAM disk block size (bytes) » permet de fixer la taille par défaut des blocs sur les disques virtuels. La taille recommandée est 4096, mais la taille par défaut est de 1024 Ko pour des raisons de compatibilité avec le chargeur de système initrd.
L'option « Packet writing on CD/DVD media » permet d'activer l'écriture par paquet sur les supports CD et DVD réinscriptibles. Cette fonctionnalité permet d'utiliser ces supports directement comme des lecteurs amovibles classiques, sans avoir à utiliser de logiciel de gravage spécifique. La réponse recommandé est 'Y'. Les sous options « Free buffers for data gathering » et « Enable write caching » de cette option permettent de spécifier le nombre de tampons d'entrée/sortie utilisés simultanément pour les écritures et si les écritures doivent être effectuées de manière asynchrone afin d'optimiser les performances. Dans ce dernier cas, les erreurs d'écritures ne sont pas encore gérées, aussi est-il préférable de répondre par 'N' à cette dernière question.
L'option « ATA over Ethernet support » permet de prendre en charge les périphériques de stockage ATA connectables via un port Ethernet. La réponse recommandé est 'N'.
L'option « Xen virtual block device support » permet de prendre en charge les périphériques de type bloc virtuels pour les systèmes virtualisés par Xen. Cela permet d'accroître les performances des entrées/sorties sur les périphériques de type bloc du système hôte. La réponse recommandé est 'Y'.
L'option « Device driver for IBM RSA service processor » active la prise en charge des coprocesseurs cryptographiques Condor d'IBM. La réponse recommandée est 'N', sauf si vous disposez d'un tel coprocesseur.
L'option « Sensable PHANToM » active la prise en charge des périphériques Sensable PHANTOM. La réponse recommandée est 'N', sauf si vous disposez d'un tel coprocesseur.
L'option « EEPROM 93CX6 support » active la prise en charge des puces EEPROM 93c46 et 93c66. La réponse recommandée est 'N', sauf si vous disposez d'un tel coprocesseur.
L'option « SGI IOC4 Base IO support » active la prise en charge des puces IOC4 existantes sur certaines cartes mères SGI. Ce pilote n'est pas utile en soit, mais est utilisé par d'autres pilotes de périphérique. La réponse recommandée est 'N', sauf si vous disposez d'une telle carte mère.
L'option « TI Flash Media interface support » active la prise en charge des adaptateurs Flash Media de Texas Instruments. Cette option vous donnera accès aux options permettant de sélectionner les pilotes de périphériques pour l'adaptateur dont vous disposez. La réponse recommandée est 'N', sauf si vous disposez d'un tel adaptateur.
L'option « Asus Laptop Extras (EXPERIMENTAL) » active la prise en charge de contrôle des réseaux Bluetooth et Wifi des portables Asus, ainsi que le contrôle de la luminosité de l'écran LCD et des événements de gestion d'énergie. Ce pilote de périphérique fonctionne également sur certains ordinateurs de marque Medion, JVC ou Victor. La réponse recommandée est 'N', sauf si vous disposez d'un tel ordinateur.
L'option « MSI Laptop Extras » active la prise en charge de contrôle des réseaux Bluetooth et Wifi des portables MSI, ainsi que le contrôle de la luminosité de l'écran LCD. La réponse recommandée est 'N', sauf si vous disposez d'un tel ordinateur.
L'option « Sony Laptop Extras (EXPERIMENTAL) » active la prise en charge de contrôle des réseaux Bluetooth des portables Sony, ainsi que le contrôle de la luminosité de l'écran LCD et des touches d'extinction de certains périphériques. Cette option vous donnera accès à l'option « Sonypi compatibility » permettant d'activer la compatibilité avec le pilote sonypi. La réponse recommandée est 'N', sauf si vous disposez d'un tel ordinateur.
L'option « ThinkPad ACPI Laptop Extras » active la prise en charge de contrôle des réseaux Bluetooth des portables ThinkPad d'IBM ou de Lenovo, ainsi que le contrôle de la luminosité de l'écran LCD et des touches de fonctions de ces ordinateurs. Cette option vous donnera accès aux options « Verbose debug mode », « "Legacy Docking Station Support », « Legacy Removable Bay Support » et « Enable input layer support by default » qui permettent de spécifier le niveau de traces du pilote, d'activer les pilotes de gestion à présent obsolètes pour la détection de la base et des périphériques amovibles, et de rediriger les informations des touches de fonctions vers le pilote d'entrée classique de Linux. La réponse recommandée est 'N', sauf si vous disposez d'un tel ordinateur.
L'option « ATA/ATAPI/MFM/RLL support » permet d'activer ou de désactiver globalement le support des périphériques IDE. À moins que votre ordinateur ne contienne que des périphériques SCSI, vous devez activer cette option.
L'option « Enhanced IDE/MFM/RLL disk/cdrom/tape/floppy support » permet d'activer la gestion des disques IDE. À moins que votre ordinateur ne soit complètement SCSI, répondez par 'Y' ou 'M' à cette question. Si vous répondez par 'M', il faut que Linux soit installé sur un disque SCSI amorçable. Il est recommandé de répondre par 'Y' à cette question.
L'option « Support for SATA (deprecated; conflicts with libata SATA driver) » permet d'activer la prise en charge de quelques contrôleurs Serial ATA de première génération. Normalement, les disques Serial ATA doivent être utilisés via le gestionnaire de périphérique SCSI, aussi l'activation de cette option est-elle déconseillée. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Use old disk-only driver on primary interface » permet d'utiliser un vieux pilote pour les disques IDE connectés à la première interface IDE et qui poseraient quelques problèmes avec le pilote général. Seule la première interface sera concernée par cette option, les autres interfaces utiliseront le nouveau pilote. En général, la réponse à cette question est 'N'.
L'option « Include IDE/ATA-2 DISK support » permet d'utiliser les disques durs IDE et ATAPI. Si l'ordinateur possède un disque IDE, il est fortement recommandé de répondre 'Y' à cette question. On ne doit répondre 'N' que si l'ordinateur est complètement SCSI. De plus, on prendra garde au fait que l'on ne peut pas mettre les fonctionnalités nécessaires au démarrage de l'ordinateur dans des modules. Cela signifie que si le disque de démarrage est un disque IDE, il ne faut pas mettre cette fonctionnalité dans un module. Donc, pour la plupart des gens, il faut répondre 'Y' à cette question.
L'option « Use multi-mode by default » permet d'activer le mode multimode par défaut sur les disques IDE. Cette option n'est normalement pas nécessaire, ce mode étant automatiquement choisi par le noyau. Toutefois, elle peut être nécessaire dans de rares cas. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « PCMCIA IDE support » permet d'activer la gestion des périphériques IDE connectés par un port PCMCIA sur les portables. Cette option n'est accessible que si vous avez activé la gestion des cartes PCMCIA avec l'option « CardBus support » du menu « PCMCIA/CardBus support ». La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Cardbus IDE support (Delkin/ASKA/Workbit) » permet d'activer la gestion des adaptateurs IDE Cardbus Delkin, ASKA ou Workbit. sur les portables. Cette option n'est accessible que si vous avez activé la gestion des cartes PCMCIA avec l'option « CardBus support » du menu « PCMCIA/CardBus support ». La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Include IDE/ATAPI CDROM support » permet d'utiliser les CD-ROM IDE et ATAPI. La plupart des ordinateurs possèdent un lecteur de CD-ROM ATAPI actuellement, il est donc recommandé d'activer cette fonctionnalité. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Include IDE/ATAPI TAPE support (EXPERIMENTAL) » permet d'inclure la gestion des lecteurs de bandes magnétiques IDE et ATAPI. Comme les lecteurs de disques amovibles IDE sont assez rares, la réponse recommandée est 'N'.
L'option « Include IDE/ATAPI FLOPPY support » permet d'inclure la gestion des lecteurs de disques amovibles IDE et ATAPI. C'est en particulier le cas pour les lecteurs LS120 et ZIP. Comme les lecteurs de disques amovibles IDE sont assez rares, la réponse recommandée est 'N'.
L'option « SCSI emulation support » permet d'émuler la présence d'un périphérique IDE par un périphérique SCSI en convertissant les requêtes SCSI en requêtes ATAPI. Cette fonctionnalité n'est utile que lorsqu'on doit utiliser des logiciels bas niveau qui ne peuvent travailler qu'avec des périphériques SCSI. Cette option était nécessaire pour utiliser les graveurs de CD IDE avec les anciennes versions du noyau, mais ce n'est plus le cas à présent. Cette option n'est donc plus utile de nos jours et la réponse recommandée est 'N'.
L'option « IDE ACPI support » permet d'activer les fonctions d'énergie ACPI pour les périphériques IDE. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « IDE Taskfile Access » permet d'activer l'envoi de commandes directement au niveau du contrôleur IDE. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « legacy /proc/ide/ support » permet d'activer l'affichage des informations sur les bus IDE dans le système de fichiers virtuel /proc/. Ces informations sont à présent exposées au travers du systèmes de fichiers virtuel /sys/, aussi cette option n'est-elle fournie qu'à titre de compatibilité pour les applications qui n'auraient pas encore été mises à jour. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « generic/default IDE chipset support » permet d'activer la prise en charge générique des périphériques ATAPI en cas d'absence d'un gestionnaire plus spécialisé. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « CMD640 chipset bugfix/support » permet de contourner un bogue des chipsets IDE CMD640. Vous devez activer cette option si vous disposez d'un tel chipset. La réponse recommandée est 'Y' si vous avez un tel chipset, et 'N' sinon.
L'option « CMD640 enhanced support » permet l'auto-détection des paramètres idéaux pour les chipsets IDE CMD640. Cette option n'est disponible que si vous avez activé le support des chipsets CMD640 dans la question précédente. La réponse recommandée est 'Y' si vous avez un tel chipset, et 'N' sinon.
L'option « PNP EIDE support » permet de prendre en charge la gestion des cartes ISA Plug and Play permettant d'utiliser des disques EIDE additionnels. Cette option peut être nécessaire si ces cartes doivent être initialisées avant de chercher à utiliser les disques qui y sont connectés. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « PCI IDE chipset support » permet d'activer la gestion des périphériques IDE sur bus PCI. Vous devez répondre par 'Y' à cette question si vous disposez d'une carte mère PCI et de contrôleurs IDE, ce qui est normalement le cas pour tous les ordinateurs récents.
L'option « Sharing PCI IDE interrupts support » permet d'activer le partage des lignes d'interruptions utilisées par les contrôleurs IDE avec les cartes présentes sur le bus PCI. Cette fonctionnalité nécessite un support matériel particulier de la part du contrôleur IDE, support qui n'est présent que sur certaines cartes mères. En général, l'activation de cette option ne perturbe pas le fonctionnement du système sur les ordinateurs incapables d'effectuer le partage des lignes d'interruptions des contrôleurs IDE, mais la réponse recommandée reste 'N'.
L'option « Boot off-board chipsets first support » permet d'inverser la numérotation des disques IDE connectés aux contrôleurs de la carte mère et des disques IDE connectés aux contrôleurs additionnels que l'on peut avoir sur une carte fille. Il faut répondre par 'N' à cette question.
L'option « Generic PCI IDE Chipset support » permet d'activer la gestion des périphériques IDE génériques. La réponse recommandée à cette question est 'Y'.
L'option « OPTi 82C621 chipset enhanced support (EXPERIMENTAL) » permet de prendre en charge les chipsets OPTi 82C621. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « RZ1000 chipset bugfix/support » permet de prendre en charge les chipsets RZ1000 et de corriger un de leur bogue. La réponse recommandée est 'Y si vous disposez d'un tel chipset, et de 'N' sinon.
L'option « Generic PCI bus-master DMA support » permet d'activer la gestion des disques Ultra DMA. La réponse recommandée est 'Y' si vous disposez d'une carte mère PCI gérant l'Ultra DMA et de disques IDE.
L'option « Force enable legacy 2.0.X HOSTS to use DMA » permet d'activer une vieille fonctionnalité non documentée et ne sera pas décrite ici. L'option recommandée 'N'.
L'option « Use PCI DMA by default when available » permet d'activer la gestion de l'Ultra DMA au démarrage. La réponse recommandée est 'Y', sauf si l'on veut désactiver le support de l'Ultra DMA.
L'option « Enable DMA only for disks » permet de désactiver les transferts DMA pour les périphériques IDE qui ne sont pas des disques durs. Cette option peut être activée si des périphériques connectés ne gèrent pas correctement les transferts DMA. La réponse recommandée est 'Y'.
Il suit un certain nombre d'options qui permettent d'activer un support étendu pour différents chipsets. Il est recommandé de répondre par 'N' à ces questions, sauf à celles correspondant aux chipsets effectivement présents sur votre carte mère.
L'option « IGNORE word93 Validation BITS » permet d'éviter une inconsistance dans les spécifications du protocole matériel ATAPI. Ces spécifications n'ont pas été claires à un endroit, et il existe maintenant des différences mineures entre les différents chipsets présents sur le marché. Cette option permet de désactiver cette fonctionnalité ambiguë. Bien qu'il ne soit pas dangereux de répondre par l'affirmative à cette question, la réponse recommandée reste 'N'.
L'option « Old hard disk (MFM/RLL/IDE) driver » permet de prendre en charge les disques durs via un pilote de disque alternatif, qui peut être nécessaire sur certains vieux systèmes dont le comportement n'est pas semblable à celui des ordinateurs récents au niveau du séquencement des opérations. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « RAID Transport Class » permet de prendre en charge la technologie RAID pour les périphériques SCSI. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « SCSI device support » permet d'activer la prise en charge des périphériques SCSI. Il faut répondre par 'Y' ou 'M' à cette question si vous disposez de tels périphériques. De plus, si le noyau se trouve sur un disque SCSI ou s'il a besoin de composants se trouvant sur le disque SCSI pour s'amorcer, il ne faut pas mettre en module cette fonctionnalité. Ceux qui n'ont pas de périphérique SCSI et ne comptent pas en utiliser peuvent répondre 'N' à cette question. Sachez toutefois que de nombreux périphériques USB apparaissent comme des disques SCSI une fois connectés à l'ordinateur. C'est en particulier le cas des clefs USB et de nombreux appareils photo numériques. Il est donc recommandé de répondre 'Y' à cette question, même si l'on ne dispose pas de périphérique réellement SCSI.
L'option « SCSI target support » permet d'accéder aux pilotes de périphériques SCSI en mode target. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « legacy /proc/scsi/ support » permet de définir les entrées concernant le sous-système SCSI dans le système de fichiers virtuel /proc/. Ces informations sont à présent exposées au travers du système de fichiers virtuel /sys/, mais des applications peuvent ne pas avoir été mises à jour, aussi est-il recommandé de répondre 'Y' à cette question.
L'option « SCSI disk support » permet d'activer la gestion des disques durs SCSI. Il ne faut pas répondre par 'M' si votre système a besoin d'un disque SCSI pour démarrer. Cette option permet également de gérer les lecteurs ZIP connectés sur port parallèle, ainsi que les périphériques comme les clefs USB et bon nombre d'appareils photo numériques, qui apparaissent comme des disques SCSI une fois connectés à l'ordinateur. La réponse recommandée est donc 'Y'.
L'option « SCSI tape support » permet d'activer la gestion des périphériques à bande SCSI. Notez que les lecteurs de bande OnStream SC-x0 ne sont pas pris en charge par ce pilote générique, mais peuvent être utilisés malgré tout en activant l'option suivante « SCSI OnStream SC-x0 tape support ». Le pilote alors utilisé nécessitera la présence des fichiers spéciaux de périphérique /dev/osstX, qui utilisent le numéro de code majeur 206. La réponse recommandée pour ces deux options est 'N'.
L'option « SCSI CD-ROM support » permet d'activer la gestion des CD-ROM SCSI. Vous devez activer cette fonctionnalité également si vous utilisez l'émulation SCSI pour un graveur de CD ATAPI. Si vous êtes dans l'un de deux ces cas, il est recommandé de répondre 'Y' à cette question. Dans tous les autres cas, la réponse recommandée est 'N'.
L'option « Enable vendor-specific extensions (for SCSI CDROM) » permet d'activer la gestion de CD-ROM SCSI disposant de commandes SCSI spécifiques. C'est notamment le cas pour les lecteurs de CD multisessions NEC/TOSHIBA et les graveurs de CD HP. Pour la plupart des utilisateurs, la réponse recommandée est 'N'.
L'option « SCSI generic support » permet d'activer la gestion des périphériques SCSI non standards. Pour ces périphériques, il faut utiliser un programme capable d'envoyer les commandes SCSI appropriées à votre matériel. Il faut activer cette fonctionnalité pour la plupart des périphériques SCSI qui ne sont ni des disques, ni des lecteurs de CD-ROM, ni des lecteurs de bandes. C'est en particulier le cas si vous utilisez un graveur de CD-ROM SCSI ou IDE via l'interface d'émulation SCSI du noyau. Dans ce cas, la réponse recommandée est 'Y'. Pour la plupart des utilisateurs, la réponse recommandée est toutefois 'N'.
L'option « SCSI media changer support » permet de prendre en charge les périphériques de changement de média que l'on peut trouver dans les bibliothèques de bandes magnétiques ou dans certains jukebox. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Probe all LUNs on each SCSI device » permet d'effectuer la détection de tous les numéros logiques d'unités SCSI de chaque périphérique. Comme la plupart des périphériques SCSI ne disposent que d'un seul numéro d'unité logique, la réponse recommandée est 'N'.
L'option « Verbose SCSI error reporting (kernel size +=12K) » permet d'utiliser un jeu de messages d'erreurs alternatif pour le SCSI. Ces messages sont plus lisibles, mais prennent plus de place dans le noyau. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « SCSI logging facility » permet d'activer les traces du sous-système SCSI. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Asynchronous SCSI scanning » permet d'activer la fonctionnalité de détection asynchrone des périphériques SCSI. Les bus SCSI ont en effet toujours été relativement lents à initialiser en raison de la recherche des périphériques qui y sont connectés. Avec cette option, le démarrage du système peut être accéléré en réalisant cette détection en asynchrone. Toutefois, l'initialisation du système peut échouer si celle-ci nécessite un périphérique SCSI non encore détecté. Il est possible de réaliser une synchronisation dans les scripts de démarrage du système en chargeant le module scsi_wait_scan. Toutefois, la réponse recommandée est 'N'.
Ce jeu d'options permet d'exporter des informations sur les communications du sous-système SCSI dans le système de fichiers virtuels /sys/. La réponse recommandée pour ces options est 'N'.
Ce jeu d'options permet de sélectionner les gestionnaires de périphériques bas niveau SCSI adaptés à votre matériel. Il faut connaître la marque et le modèle de votre adaptateur SCSI, ainsi que ses paramètres pour répondre à ces questions. Si vous utilisez l'émulation SCSI pour les périphériques ATAPI ou des périphériques USB qui apparaissent comme des disques SCSI une fois connecté à l'ordinateur, il n'est pas nécessaire de choisir un gestionnaire bas niveau et vous pouvez désactiver toutes ces options. Il est recommandé de répondre 'Y' à cette option et de choisir le pilote adapté à votre matériel.
Ce jeu d'options permet la prise en charge les périphériques SCSI au format PCMCIA. Les options qui suivent correspondent aux gestionnaires des différents types de matériel SCSI au format PCMCIA que Linux est capable de prendre en charge. Vous devez donc choisir les pilotes correspondants à votre matériel.
L'option « Serial ATA (prod) and Parallel ATA (experimental) drivers » permet d'activer la prise en charge générique des périphériques ATA. Cette prise en charge comprend la gestion des périphériques Serial ATA, qui sont parfaitement supportés, et un nouveau jeux de pilotes pour les périphériques ATAPI classiques (dont la connectique, à savoir les nappes IDE classiques, est, à l'inverse des périphériques Serial ATA, de type parallèle). Si les pilotes de périphériques Serial ATA peuvent être utilisés sans problème, les pilotes Parallel ATA sont beaucoup plus récents et sont encore considérés comme expérimentaux. Il est par conséquent recommandé de continuer à utiliser les pilotes de périphériques classiques du menu « ATA/ATAPI/MFM/RLL support » pour l'instant. Cette option vous donnera accès aux pilotes de périphériques pour les différents matériels supportés par Linux. La réponse recommandée est donc 'Y' si votre ordianteur dispose d'une interface Serial ATA, et vous devrez choisir le type de chipset Serial ATA utilisé dans les options suivantes.
Notez que les périphériques Serial ATA et les périphériques Parallel ATA de ce menu exposent les périphériques sous la forme de périphériques SCSI. Les fichiers spéciaux de ces périphériques ont donc un nom de la forme /dev/sdXX et non de la forme /dev/hdXX. À terme, lorsque les nouveaux pilotes Parallel ATA seront finalisés, tous les périphériques apparaîtront comme des périphériques SCSI et la manière d'accéder aux périphériques de type bloc sera uniforme.
L'option « Multiple devices driver support (RAID and LVM) » permet d'activer la gestion de la redondance de données RAID et des volumes logiques. La technologie RAID permet de réaliser des agrégats de disques, soit dans le but de simuler des disques de grande capacité, soit afin de stocker les données de manière redondante sur plusieurs disques afin d'obtenir une sécurité accrue de ces données. La technologie LVM permet quant à elle uniquement de regrouper plusieurs volumes physiques afin de simuler la présence d'un volume logique de très grande capacité. Cette technologie utilise un mécanismes de regroupement des périphériques de type bloc que l'on appelle « Device Mapper ». Ce mécanisme permet également de transformer les données écrites sur les volumes à la volée, et en particulier de les chiffrer avec les algorithmes cryptographiques du noyau. Vous pouvez répondre par 'Y' à cette question si vous avez besoin de l'une de ces fonctionnalités. Dans le cas contraire, répondez par 'N'. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « RAID support » permet d'activer la prise en charge des technologies RAID au niveau logiciel. Cette option n'est pas nécessaire pour utiliser les technologies RAID avec un matériel spécifique. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Linear (append) mode » permet de concaténer plusieurs partitions pour ne former qu'une seule zone de données plus grande. Cette fonctionnalité n'assure pas la redondance des données. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « RAID-0 (striping) mode » permet de répartir les données sur plusieurs partitions de manière équilibrée. Cela permet de simuler des disques de très grande capacité, et également d'augmenter les performances en minimisant les temps d'accès, si ces partitions sont sur des disques différents. Cette fonctionnalité n'assure cependant pas la redondance des données. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « RAID-1 (mirroring) mode » permet de dupliquer les données sur plusieurs disques à la volée. Cette redondance des données permet d'assurer une grande sécurité. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « RAID-10 (mirrored striping) mode (EXPERIMENTAL) » permet de dupliquer les données sur plusieurs disques à la volée, dont l'espace peut être combiné pour réaliser des partitions équilibrées plus grande. Ce mode de fonctionnement est donc un mode hybride entre le mode RAID-0 et le mode RAID-1, et offre donc un peu plus de souplesse. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « RAID-4/RAID-5/RAID-6 mode » permet d'activer le support logiciel RAID-4, RAID-5 ou RAID-6. Dans le mode de fonctionnement RAID-4, un des disques est utilisé pour contrôler la validité des données sur les autres disques. Dans le mode de fonctionnement RAID-5, ces données de contrôle sont réparties sur tous les disques, pour une capacité toujours diminuée de la capacité de l'un des disques. Le système est tolérant à la défaillance d'un seul disque. Dans le mode RAID-6, les données de contrôle sont doublées et consomment deux disques sur l'ensemble des disques utilisés, mais le système tolère la défaillance de deux disques simultanément. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support adding drives to a raid-5 array (experimental) » permet d'activer la fonctionnalité d'ajout de disque à un système RAID-5. Cela nécessite la redistribution des données sur l'ensemble des disques. Cette fonctionnalité permet de le faire en exploitation. Elle reste toutefois expérimentale, aussi la réponse recommandée est-elle 'N'.
L'option « Mutipath I/O support » permet d'activer le support des périphériques capables d'être accédés par différents jeux de ports d'entrée / sortie. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Faulty test module for MD » permet d'activer une fonctionnalité de génération d'erreurs aléatoires lors des opération de lecture sur les périphériques multiples. Cette option est utile aux développeurs du noyau pour tester les techniques de reconstitution des informations dans les fonctionnalités RAID. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Device mapper support » permet d'activer la gestion des volumes virtuels. Avec cette option, vous pourrez faire des agrégats de plusieurs disques, périphériques RAID ou périphériques loopback afin de simuler un périphérique de type bloc de très grande capacité. Notez que cette fonctionnalité ne permet pas d'accéder aux partitions de type agrégat de Windows 2000 et Windows XP. Pour ce type de partition, consultez le sous-menu « Partition types » du menu « File systems ». La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Device mapper debugging support » permet d'activer des messages de déboguage complémentaires lors de l'utilisation des volumes virtuels. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Crypt target support » permet d'utiliser les volumes virtuels pour chiffrer les systèmes de fichiers qui y sont stockées. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Snapshot target (EXPERIMENTAL) » permet d'effectuer une photographie de l'état complet d'un volume virtuel à un instant donné, de manière atomique. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Mirror target (EXPERIMENTAL) » permet de répliquer un volume sur un autre volume afin d'en avoir en permanence une copie conforme. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Zero target (EXPERIMENTAL) » permet de créer un volume virtuel sur lequel toutes les écritures sont ignorées, et dont les données sont toujours nulles en lecture. Ce type de volume peut être utile dans certaines situation de restauration. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Multipath target (EXPERIMENTAL) » permet de donner aux gestionnaires de volume la possibilité d'accéder aux périphériques capables de gérer plusieurs jeux de ports d'entrée/sortie. Si vous activez cette option, vous pourrez accéder aux options des pilotes de périphériques pris en charge par Linux. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « I/O delaying target (EXPERIMENTAL) » permet de prendre en charge un volume virtuel qui retarde les opérations d'entrée/sortie sur les périphériques physiques. Cette fonctionnalité est principalement utile pour réaliser des tests, la réponse recommandée est 'N'.
Les options « Fusion MPT ScsiHost drivers for SPI » , « Fusion MPT ScsiHost drivers for FC » et « Fusion MPT ScsiHost drivers for SAS » permettent d'activer la prise en charge de l'architecture Fusion respectivement pour les adaptateurs SCSI parallèles, à fibre optique et SCSI série. Cette architecture permet de multiplexer ces périphériques pour atteindre des taux de transfert encore plus élevés. Ce gestionnaire utilise une carte PCI compatible Fusion MPT pour effectuer les opérations d'entrée/sortie. Vous pouvez répondre 'Y' à cette question si vous disposez d'une telle carte, et régler le paramètre du nombre maximum de paramètres des opérations d'entrées / sorties multiples du driver avec l'option suivante. La réponse recommandée étant 'N'.
L'option « Maximum number of scatter gather entries (16 - 128) » permet d'indiquer le nombre maximum de segments de données utilisables dans le cadre d'entrées/sorties de données non contigües. Il est recommandé de conserver la valeur par défaut inchangée (128).
L'option « Fusion MPT misc device (ioctl) driver » permet d'activer un moyen de contrôle supplémentaire sur les adaptateurs MPT par l'intermédiaire du fichier spécial de périphérique de type caractère /dev/mptctl, dont le code majeur est 10 et le code mineur est 240. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Fusion MPT LAN driver » permet de prendre en charge les réseaux IP sur les adaptateurs Fusion à fibre optique. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Fusion MPT logging facility » permet d'activer des traces de fonctionnement sur les périphériques Fusion. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « IEEE 1394 (FireWire) support - alternative stack, EXPERIMENTAL » permet d'activer la gestion des cartes FireWire. Ces cartes fournissent l'accès à un bus de données extrêmement rapide, que l'on utilise généralement pour connecter des périphériques exigeant une bande passante très élevée, comme les caméras vidéo par exemple. Le pilote rendu accessible par cette option est un nouveau pilote de périphérique, qui n'est pas forcément totalement stabilisé encore. De plus, il ne prend pas encore en charge l'ensemble des fonctionnalités de l'ancien pilote (en particulier l'interface réseau au travers de l'interface FireWire). La réponse recommandée est donc 'N'.
L'option « Support for OHCI FireWire host controllers » permet d'activer la gestion des cartes FireWire compatible OHCI dans le nouveau pilote FireWire. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Support for storage devices (SBP-2 protocol driver) » permet d'activer la gestion des périphériques de stockage dans le nouveau pilote FireWire, tels que les disques durs connectés par une prise FireWire. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « IEEE 1394 (FireWire) support (EXPERIMENTAL) » permet d'activer la gestion des cartes FireWire. Ce pilote de périphériques est le pilote utilisé historiquement dans Linux, il est donc plus stable que le nouveau pilote mais appelé à être remplacé par ce dernier. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Excessive debugging output » est réservée pour les développeurs de gestionnaires de périphériques. Elle permet de stocker sur disque toutes les informations transitant sur le bus FireWire, ce qui sature généralement les disques durs extrêmement rapidement. Il faut répondre par 'N' à cette question.
L'option « Texas Instruments PCILynx support » permet d'activer la gestion des cartes FireWire PCILynx de Texas Instruments. Cette option n'est disponible que si l'option « I2C support » du menu « I2C support » a été activée. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « OHCI-1394 support » active la prise en charge des contrôleurs IEEE 1394 respectant les spécifications OHCI (il s'agit d'un standard de communication pour les contrôleurs). Ce pilote n'a été testé qu'avec un contrôleur de Texas Instruments, mais ce contrôleur est l'un des plus utilisés du marché. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « OHCI-1394 Video support » permet d'utiliser la capture vidéo des cartes FireWire. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « SBP-2 support (Harddisks, etc.) » permet d'activer la gestion des périphériques SBP-2, qui comprennent les disques durs et les lecteurs de DVD connectés sur les bus FireWire. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Enable replacement for physical DMA in SBP2 » permet d'utiliser un code de compatiblité pour que les gestionnaires périphériques SBP-2 puisse utiliser les accès directs à la mémoire sur les contrôleurs qui ne sont pas capables de les réaliser. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « IP over 1394 » permet d'utiliser une interface IEEE1394 comme une interface Ethernet. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « OHCI-DV I/O support (deprecated) » permet d'activer l'envoi et la réception d'images DV par un port IEEE1394 au travers d'une interface simplifiée. Toutefois, les programmes vidéo n'utilisent plus cette fonctionnalité de nos jours et accèdent directement au port 1394 en mode brut (voir option suivante). Cette option n'est donc plus nécessaire, et la réponse recommandée est 'N'.
L'option « Raw IEEE 1394 I/O support » permet aux programmes de communiquer directement avec le matériel IEEE 1394. C'est en général le mode de fonctionnement désiré, aussi la réponse recommandée à cette question est-elle 'Y'.
L'option « I2O support » permet d'activer la gestion des cartes d'entrée/sortie I2O. Ces cartes prennent en charge la gestion des entrées/sorties de manière uniforme, pour tous les périphériques matériels, et permettent donc d'écrire un gestionnaire de périphériques uniforme au niveau du système d'exploitation pour toute une classe de périphérique. Ce gestionnaire, nommé « OSM » (abréviation de « Operating System Module »), communique avec des pilotes spécifiques à chaque type de matériel. Ces pilotes peuvent alors ne faire aucune hypothèse sur le système d'exploitation utilisé. Ainsi, il est possible d'écrire des gestionnaires de périphériques communs à tous les systèmes d'exploitation. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Enable LCT notification » permet de prendre en charge les notifications relatives aux canaux de communication logiques du protocole I2O. Cette fonctionnalité est normalement nécessaire, mais peut être désactivée car certains contrôleurs de SUN ne la prennent pas en charge. La réponse recommandée est 'Y', sauf si vous êtes dans ce cas.
L'option « Enable Adaptec extensions » permet de prendre en charge les extensions nécessaires à l'utilisation des contrôleurs RAID de marque Adaptec. Cette option vous donnera également accès à l'option « Enable 64-bit DMA » permettant d'activer les accès direct à la mémoire en 64 bits sur ces adaptateurs. La réponse recommandée est 'Y' si vous disposez de ce type de périphérique.
L'option « I2O Configuration support » permet d'activer l'interface de configuration des périphériques I2O. Cette option est en particulier nécessaire pour configurer les périphériques RAID sur les contrôleurs de marque Adaptec. Cette option vous donnera également accès à l'option « Enable IOCTLs (OBSOLETE) », qui permet de prendre en charge des commandes de configuration des périphériques obsolètes, à titre de compatibilité. La réponse recommandée est 'Y' si vous disposez de ce type de périphérique.
L'option « I2O Bus Adapter OSM » permet de prendre en charge le gestionnaire de périphériques pour le bus I2O lui-même. Cela permet de demander au bus de lister les périphériques qui y sont connectés, en particulier pour détecter les nouveaux périphériques. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « I2O Block OSM » permet de prendre en charge le gestionnaire de périphériques pour les périphériques RAID. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « I2O SCSI OSM » permet de prendre en charge le gestionnaire de périphériques SCSI ou FibreChannel. Ce gestionnaire vous permettra également d'accéder de manière unitaire aux disques RAID. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « I2O /proc support » permet d'exporter des informations relatives aux périphériques I2O dans le système de fichiers virtuel /proc/. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Network device support » permet d'activer la gestion des diverses interfaces réseau que Linux peut prendre en charge. On notera que les choix faits pour les protocoles de communication dans le menu « Networking options » sont nécessaires (la plupart des composants des systèmes Unix utilisent les fonctions réseau du système pour communiquer) mais non suffisants pour accéder au monde extérieur. Si l'on n'active pas cette option, seuls les processus de la machine locale seront accessibles (par l'intermédiaire de l'interface réseau « loopback »). Pour accéder aux autres ordinateurs, que ce soit par une carte réseau, un câble parallèle ou série, ou par modem via un fournisseur d'accès à Internet, il faut en plus répondre 'Y' à cette question. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Netdevice multiple hardware queue support » permet de prendre en charge plusieurs files de transmission pour les paquets sortants, sur les adaptateurs qui fournissent cette fonctionnalité. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Intermediate Functional Block support » permet d'activer la prise en charge d'une interface réseau virtuelle qui se positionne entre l'interface réseau physique et les clients afin de réaliser des statistiques sur le trafic réseau. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Dummy net driver support » permet d'activer la fonctionnalité de réseau virtuel. Cette fonctionnalité fournit une interface virtuelle sur un réseau ne contenant qu'une seule machine. Cette interface peut être utilisée pour faire croire à des programmes réseau que la machine est effectivement connectée à un réseau. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Bonding driver support » permet de réunir plusieurs connexions Ethernet entre deux machines pour simuler une connexion unique, dont la bande passante est la somme des bandes passantes des connexions ainsi regroupées. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « MAC-VLAN support (EXPERIMENTAL) » permet de créer plusieurs interfaces virtuelles afin de rediriger les paquets destinés à une adresse physique vers une interface spécifique. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « EQL (serial line load balancing) support » permet d'activer la gestion de connexions multiples sur plusieurs connexions série (par exemple par l'intermédiaire de deux modems). Cette fonctionnalité nécessite également le support de cette fonctionnalité du côté de la machine distante. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Universal TUN/TAP device driver support » permet d'activer la gestion d'interfaces réseau virtuelles tunX et tapX (où 'X' est le numéro de chaque interface), dont les données peuvent être lues et écrites directement par des applications normales, par l'intermédiaire de fichiers spéciaux de périphériques /dev/tunX et /dev/tapX. Les interfaces de type tun se comportent exactement comme des interfaces réseau point à point (elles ne permettent donc de communiquer qu'avec une seule autre machine), alors que les interfaces de type tap simulent le fonctionnement d'une carte Ethernet classique. Cette fonctionnalité permet donc aux programmes classiques d'accéder aux paquets routés vers ces interfaces, et de recevoir et d'envoyer des données brutes sur le réseau. Les interfaces tunX et tapX sont créées dynamiquement, lorsque les programmes qui désirent les utiliser s'enregistrent au niveau du système en ouvrant le fichier spécial de périphérique /dev/net/tun, de type caractère et de codes majeur et mineur égaux respectivement à 10 et 200. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « General Instruments Surfboard 1000 » permet de prendre en charge les cartes modem Surfboard 1000 utilisées pour accéder à Internet via les opérateurs de câble. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Xen network device frontend driver » permet de prendre en charge les interfaces réseau pour les machines virtuelles Xen. Ce pilote doit être activé pour les noyaux des systèmes fonctionnant dans les machines virtuelles Xen. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « FDDI driver support » permet d'activer la gestion des cartes Ethernet FDDI. Les options qui suivent permettent de sélectionner les gestionnaires de périphériques pour les cartes FDDI gérées par Linux. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « HIPPI driver support (EXPERIMENTAL) » permet la gestion des cartes HIPPI. Les options qui suivent permettent de sélectionner les gestionnaires de périphériques pour les cartes de ce type. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « PLIP (parallel port) support » permet d'activer les connexions par port parallèle. Ce type de connexion peut être utilisé pour transférer des fichiers par un câble parallèle entre deux ordinateurs. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « PPP (point-to-point protocol) support » permet d'activer la gestion des connexions PPP. Ces connexions sont utilisées pour accéder à Internet via un modem, ou pour établir une connexion de manière plus générale via un câble série ou tout autre moyen de communication existant. Il est conseillé d'activer le support de ce type de connexion, à moins que vous soyez sûr de ne jamais vous connecter à Internet. La réponse recommandée ici est 'Y'.
L'option « PPP multinlink support (EXPERIMENTAL) » permet d'utiliser plusieurs lignes PPP pour augmenter la bande passante en les agrégeant. Par exemple, si vous disposez de plusieurs lignes téléphoniques, vous pouvez vous connecter plusieurs fois à votre fournisseur d'accès et accroître ainsi votre bande passante. Bien entendu, pour que cette technique fonctionne, il faut que le fournisseur d'accès l'autorise. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « PPP filtering » permet d'autoriser le filtrage des paquets traversant les interfaces PPP existantes dans le système. Cette fonctionnalitépeut être utile pour réaliser un firewall ou pour effectuer des actions spécifiques lorsque certains paquets sont reçus. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « PPP support for async serial ports » permet de prendre en charge les communications PPP sur les câbles série classiques. C'est en général l'option qui convient lorsqu'on veut se connecter à Internet à l'aide d'un modem classique. Notez que cette option n'est pas utilisable pour les connexions à l'aide d'un modem Numéris. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « PPP support for sync tty ports » permet de prendre en charge les communications PPP avec les adaptateurs synchones, tels que les cartes SyncLink. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « PPP Deflate compression » permet de prendre en charge l'algorithme de compression Deflate (le même algorithme que celui utilisé par le programme gzip) pour compresser les données transmises sur les connexions PPP. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « PPP BSD-Compress compression » permet de prendre en charge l'algorithme de compression LZW pour compresser les données transmises sur les connexions PPP. Cet algorithme est soumis à un brevet de logiciel et son utilisation est supposée être soumise à paiement de droits. Cependant, les brevets de logiciel sont encore illégaux en Europe, et il est tout à fait légal de l'utiliser. Les taux de compressions obtenus sont de toutes manières inférieurs à ceux de la méthode Deflate, aussi la réponse recommandée est-elle 'N'.
L'option « PPP MPPE compression (encryption) (EXPERIMENTAL) » permet de prendre en charge l'algorithme de compression MPPE utilisé par le protocole de communication point à point de Microsoft. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « PPP over Ethernet (EXPERIMENTAL) » permet de réaliser des connexions point à point sur un réseau de type Ethernet. Ce protocole est également souvent utilisé par les fournisseurs d'accès pour transférer les données via les modems ADSL. La réponse recommandée est donc 'Y'.
L'option « PPP over ATM » permet de réaliser des connexions point à point sur un réseau ATM. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « PPP over L2TP (EXPERIMENTAL) » permet de réaliser des connexions point à point sur un réseau L2TP. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « SLIP (serial line) support » permet de connecter deux ordinateurs par une ligne série ou par un modem. Les options suivantes permettent de fixer les paramètres des connexions SLIP. Le protocole SLIP est en train de tomber en désuétude et est remplacé par PPP. La réponse recommandée à cette question est donc 'N'.
L'option « CSLIP compressed headers » permet d'activer la compression des en-têtes IP pour le protocole SLIP. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Keepalive and linefill » permet d'activer la surveillance de la connexion SLIP. Cette option est utilisée sur les connexions SLIP passant par des lignes analogiques de mauvaise qualité. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Six bit SLIP encapsulation » permet de faire en sorte que le protocole SLIP n'envoie que des données codées sur 6 bits. Cela permet d'améliorer la qualité des transmissions sur les réseaux peu fiables, ou qui ne peuvent pas transférer plus de 7 bits de données. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Fibre Channel driver support » permet d'activer la gestion des adaptateurs Fiber Channel. L'option qui suit donne la possibilité de sélectionner le gestionnaire de périphériques pour les cartes Interphase à base de chipset Tachyon. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Traffic Shaper (EXPERIMENTAL) » permet d'activer la possibilité de contrôler le débit maximal de données à travers une interface réseau. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Network console logging support (EXPERIMENTAL) » permet d'activer la possibilité d'envoyer les messages générés par le noyau vers le réseau, plutôt que de les envoyer à la console. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Netpoll traffic trapping » n'est pas documentée et ne sera pas décrite plus en détail ici. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « ARCnet support » permet d'activer la gestion des cartes de type ARCnet. Les options qui suivent correspondent aux différents pilotes pour les différentes cartes de ce type. Si vous avez une carte de ce type, répondez par 'M' ou 'Y' à cette question et choisissez le pilote correspondant à votre matériel dans la suite du menu. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « PHY Device support and infrastructure » permet d'activer la des périphériques PHY auxquels les contrôleurs Ethernet sont souvent attachés. Ces périphériques permettent de déterminer l'état du lien physique (présence du câble, mode de communication, croisement des fils, vitesse, etc.). La réponse recommandée est 'Y'.
Les options qui suivent correspondent aux différents pilotes pour les périphériques PHY de certaines cartes réseau. Si vous avez une carte de ce type, répondez par 'M' ou 'Y' à la question correspondante. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Ethernet (10 or 100Mbit) » permet d'activer la gestion des cartes de type Ethernet. Les options qui suivent correspondent aux différents gestionnaires de périphériques pour les différentes cartes de ce type. Si vous avez une carte de ce type, répondez par 'M' ou 'Y' à cette question et choisissez le gestionnaire de périphériques correspondant à votre matériel dans la suite du menu. La réponse recommandée est 'N'. Certaines cartes utilisent une interface commune pour le transmetteur, dont on peut activer le support grâce à l'option « Generic Media Independent Interface device support », qu'il est donc conseillé d'activer. La plupart des cartes réseau bon marché sont compatibles NE2000, celles fournies sur les cartes mères sont toutefois souvent différentes. Il existe deux types de pilotes pour les cartes réseau, selon qu'elles sont ISA ou non. Les pilotes pour les cartes ISA peuvent être choisis en activant les options « Other ISA cards ». Les pilotes pour les cartes PCI peuvent être sélectionnés en activant les options « EISA, VLB, PCI and on board controllers ».
Les options disponibles dans ce menu permettent de choisir les gestionnaires de périphériques à utiliser pour les cartes Ethernet Gigabit. Choisissez l'option qui correspond à votre matériel si vous en disposez d'une.
Les options disponibles dans ce menu permettent de choisir les gestionnaires de périphériques à utiliser pour les cartes Ethernet 10 Gigabits. Choisissez l'option qui correspond à votre matériel si vous en disposez d'une.
Ce menu permet d'activer les gestionnaires de périphériques pour les cartes Token Ring. L'option « Token Ring driver support » permet d'activer la gestion des réseaux Token Ring. Les options qui suivent permettent de choisir les gestionnaires de périphériques pour ces adaptateurs. La réponse recommandée est 'N'.
Les options de ce menu permettent d'activer la gestion des connexions sans fil Wifi. Les options qui suivent permettent de choisir les gestionnaires de périphériques disponibles. Cette option est également nécessaire pour les gestionnaires de périphériques Wifi non intégrés au noyau. Certains périphériques nécessitent également les fonctionnalités de l'infrastructure Wifi activable avec les options « Generic IEEE 802.11 Networking Stack » du menu « Networking ». La réponse recommandée est 'Y' si vous disposez d'une interface réseau sans fil, et 'N' dans le cas contraire.
Ce sous-menu permet de prendre en charge les périphériques réseau connectés via un port USB. En particulier, l'option « Multi-purpose USB Networking Framework » donne accès aux options de configuration des fonctions de connexion entre deux ordinateurs ou entre un ordinateur et un appareil USB intelligent, en utilisant un câble USB de transfert de données. Les interfaces réseau seront nommées usb0, usb1, etc. Elle donne également accès à l'option « CDC Ethernet support (smart devices such as cable modems) », qui doit être utilisée pour accéder à la plupart des périphériques ADSL qui simulent une interface Ethernet via le port USB. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « PCMCIA network device support » permet d'activer la gestion des cartes réseau au format PCMCIA. Les options qui suivent correspondent aux divers gestionnaires de périphériques pris en charge par Linux. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Wan interfaces support » permet de prendre en charge les gestionnaires de périphériques pour les adaptateurs WAN (« Wide Area Network »). Cette option vous donnera accès aux options permettant de sélectionner les gestionnaires de périphériques pour ces adaptateurs. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « WAN router drivers » permet d'activer les options de menu suivantes, qui donnent la possibilité de faire la configuration des adaptateurs WAN. Cette option n'est disponible que si l'option « Wan router » du menu de configuration des options générales du réseau a été activée. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « LAPB over Ethernet driver » permet d'activer un gestionnaire de périphériques pour une carte X.25 virtuelle. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « X.25 async driver » permet d'activer la gestion du protocole X.25 sur une ligne série normale ou sur un modem. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Dummy ATM driver » permet de fournir un pilote de périphérique ATM virtuel. Ce type pilote n'est utile qu'à des fins de test et de développement. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « ATM over TCP » permet d'encapsuler ATM sur un réseau TCP/IP. Ce type d'encapsulation n'est utile qu'à des fins de test et de développement. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Efficient Networks Speedstream 3010 » permet de prendre en charge les cartes ATM Speedstream 3010 d'Efficient Networks. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Efficient Networks ENI155P » active la gestion des cartes ATM ENI155P d'Efficient Networks et Power155 de SMC. Les options qui suivent permettent de configurer ce gestionnaire de périphériques. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Fujitsu FireStream (FS50/FS155) » active la gestion des cartes ATM FireStream de Fujitsu. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « ZeitNet ZN1221/ZN1225 » active la gestion des cartes ATM ZN1221 et ZN1225 de ZeitNet. Les options qui suivent permettent de configurer ce gestionnaire de périphériques. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « IDT 77201 (NICStAR) (ForeRunnerLE) » active la gestion des cartes ATM basées sur le chipset NICStAR 77201. Les options qui suivent permettent de configurer ce gestionnaire de périphériques. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « IDT 77252 (NICStAR II) » active la gestion des cartes ATM basées sur le chipset NICStAR 77252. Les options qui suivent permettent de configurer ce gestionnaire de périphériques. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Madge Ambassador (Collage PCI 155 Server) » active la gestion des cartes ATM basées sur le chipset ATMizer. L'option qui suit permet d'activer les informations de débogage de ce gestionnaire de périphériques. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Madge Horizon [Ultra] (Collage PCI 25 and Collage PCI 155 Client) » active la gestion des cartes ATM basées sur le chipset Horizon. L'option qui suit permet d'activer les informations de débogage de ce gestionnaire de périphériques. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Interphase ATM PCI x575/x525/x531 » active la gestion des cartes ATM ChipSAR d'Interphase. L'option qui suit permet d'activer les informations de débogage de ce gestionnaire de périphériques. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « FORE Systems 200E-series » active la gestion des cartes ATM FORE Systems 200E. Les options qui suivent permettent de configurer ce gestionnaire de périphériques. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « FORERunner HE Series » active la gestion des cartes ATM ForeRunner HE. Les options qui suivent permettent de configurer ce gestionnaire de périphériques. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « ISDN support » permet d'activer la gestion des interfaces « ISDN » (« Numéris » en France). Si vous disposez d'une telle interface, la réponse recommandée est 'M', sinon, c'est 'N'.
Le sous-menu « Old ISDN4Linux » permet d'activer l'ancienne interface de programmation ISDN4Linux. Si vous y activez l'option « Old ISDN4Linux (obsolete) », vous aurez accès des des options complémentaires permettant de configurer cette interface. La réponse recommandée est 'N', car on utilisera de préférence la nouvelle interface à présent.
L'option « Support synchronous PPP » permet d'utiliser une version de PPP qui ne gère pas les synchronisations dans la communication entre les deux ordinateurs. Cette fonctionnalité n'est en effet plus nécessaire avec ISDN, puisque c'est un protocole numérique. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Use VJ-compression with synchronous PPP » permet d'utiliser l'algorithme de Van Jacobson pour la compression des en-têtes IP dans le protocole PPP synchrone. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Support generic MP (RFC 1717) » permet de regrouper plusieurs connexions ISDN avec le protocole PPP synchrone, et ce afin d'accroître la bande passante. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Filtering for synchronous PPP » active les fonctionnalités de filtrage des paquets pour les interfaces IPPP. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support BSD compression » active la gestion de la compression de données avec l'algorithme BSD. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support audio via ISDN » permet d'activer la gestion des commandes vocales dans l'émulateur de modem du sous-système ISDN. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support AT-Fax Class 1 and 2 commands » permet d'activer la gestion des commandes vocales des FAX. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « X.25 PLP on top of ISDN » permet de prendre en charge le protocole X.25 au dessus d'ISDN. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « isdnloop support » du sous-menu « ISDN feature submodules » permet d'activer la gestion d'une interface ISDN virtuelle, afin de tester la configuration sans effectuer d'appel réel. La réponse recommandée est 'N'. L'option « Support isdn diversion services » quant à elle permet d'activer la gestion de services ISDN supplémentaires. La réponse recommandée est également 'N'.
Les sous-menus « Passive cards » et « Active cards » permettent d'inclure les drivers pour la plupart des cartes ISDN qui supportent l'ancienne interface de programmation ISDN de Linux. Ces options sont placées dans les sous-menus en fonction de la nature des cartes utilisées. Le sous-menu « Passive cards » permet d'accéder aux drivers pour les cartes ISDN passives, dont les cartes HiSax, AVM, Sedlbauer et ELSA. Le sous-menu « Active cards » permet quant à lui d'accéder aux cartes ISDN actives, dont les cartes Spellcaster, IBM, Eicon, Auvertech et Hypercope. Le sous-menu « Siemens Gigaset » donne accès aux pilotes pour les cartes Siemens Gigaset. Vous devez bien entendu choisir les options qui correspondent à votre matériel.
La nouvelle interface ISDN pour Linux est basée sur le standard CAPI (« Common ISDN Application Programming Interface ») et peut être activée à l'aide de l'option « CAPI2.0 support ». On préférera cette interface à l'ancienne, aussi la réponse recommandée est-elle 'Y' si l'on désire utiliser les lignes ISDN sous Linux.
L'option « Verbose reason code reporting (kernel size +=7K) » permet d'obtenir des messages détaillés sur les raisons des déconnexions provoquées par le pilote CAPI. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « CAPI trace support » permet d'obtenir des messages de trace détaillés sur le fonctionnement du pilote CAPI. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « CAPI2.0 Middleware support (EXPERIMENTAL) » permet d'étendre l'interface CAPI pour permettre le transfert des connexions établies via l'interface CAPI vers un terminal classique. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « CAPI2.0 /dev/capi support » permet de donner l'accès à l'interface CAPI 2.0 aux applications par l'intermédiaire d'un fichier spécial de périphérique /dev/capi20. L'utilisation de ce fichier spécial de périphérique nécessite l'installation d'une bibliothèque de fonctions dédiée. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « CAPI2.0 filesystem support » permet d'activer le support d'un système de fichiers virtuel semblable au système de fichiers /dev/pts/, dans lequel les terminaux créés par les fonctionnalités CAPI apparaîtront. Cette option est nécessaire pour utiliser le démon pppd avec son module pppdcapiplugin. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « CAPI2.0 capidrv interface support » permet d'utiliser les cartes compatibles CAPI avec l'interface de programmation ISDN classique. La réponse recommandée est 'N'.
Les options qui suivent permettent de prendre en charge les cartes AVM et Eicon. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Linux telephony support » permet d'activer la gestion des cartes téléphoniques. Ces cartes permettent de transférer les communications téléphoniques sur des supports numériques, par exemple en encapsulant les informations sonores sur un réseau TCP/IP. Cette option n'a rien à voir avec un modem, qui fait exactement l'inverse (transfert des données informatiques sur un réseau téléphonique analogique). La réponse recommandée est 'N'.
L'option « QuickNet Internet LineJack/PhoneJack support » active la prise en charge des cartes téléphoniques Quicknet. Vous pouvez répondre 'Y' ou 'M' si vous possédez ce matériel, sinon la réponse recommandée est 'N'.
L'option « QuickNet Internet LineJack/PhoneJack PCMCIA support » active la prise en charge des cartes téléphoniques Quicknet connectées sur port PCMCIA. Vous pouvez répondre 'Y' ou 'M' si vous possédez ce matériel, sinon la réponse recommandée est 'N'.
Ce menu contient les options permettant de configurer les périphériques d'entrée de Linux, dont le clavier et la souris.
L'option « Generic input layer (needed for keyboard, mouse, ...) » permet d'activer la prise en charge des pilotes des périphériques d'entrée sous Linux. Cela comprend le clavier et les souris, aussi la réponse recommandée est-elle 'Y'.
L'option « Support for memoryless force-feedback devices » permet de prendre en charge les périphériques à rétroaction sans mémoire, tels que les joysticks WingMan Force 3D de Logitech ou FireStorm Dual Power 2 de ThrustMaster. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Polled input device skeleton » permet de prendre en charge les fonctions de scrutation périodiques des périphériques d'entrée auxquelles certains pilotes de périphériques peuvent avoir recours. Les pilotes du noyau activent automatiquement cette option s'ils en ont besoin, mais dans le cas contraire ces fonctionnalités ne sont pas obligatoirement présentes dans le noyau et donc ne sont pas à disposition des pilotes additionnels non intégrés au noyau. La réponse recommandée est donc 'Y' afin de fournir ces fonctionnalités aux pilotes externes éventuels, même si aucun pilote du noyau n'en a besoin.
L'option « Mouse interface » permet d'offrir un accès aux périphériques de type souris aux applications utilisateur, par l'intermédiaire de fichiers spéciaux de périphériques /dev/input/mouseX et /dev/input/mice. Cette option vous donnera également accès à la sous-option « Provide legacy /dev/psaux device », qui permet de prendre en charge le fichier spécial de périphériqe /dev/psaux ordinairement utilisé pour les souris PS/2. La réponse recommandée est 'Y' pour ces deux questions.
Les options « Horizontal screen resolution » et « Vertical screen resolution » permettent de définir la résolution horizontale et verticale de l'écran, afin de permettre l'utilisation d'une tablette de digitalisation USB comme une souris. Ces deux données permettent de faire la conversion entre les coordonnées de la tablette et les coordonnées de l'écran. Si vous disposez d'une telle tablette, vous devez entrer ici la résolution du mode graphique que vous utilisez prioritairement. Dans les autres cas, les valeurs de ces options ne sont pas utilisées.
L'option « Joystick interface » active la prise en charge des joysticks et permet aux applications d'y accéder au travers des fichiers spéciaux de périphériques /dev/input/jsN, où N est le numéro du joystick, et dont les numéros de codes majeur et mineurs sont respectivement 13 et 0 à 31. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Touchscreen interface » active la prise en charge des périphériques de pointage absolus qui gèrent le protocole Touchscreen de Compaq. Cette option vous donnera également la possibilité de fixer la résolution du mode graphique que vous utilisez, pour permettre au gestionnaire de faire la correspondance entre la position sur le TouchScreen et les pixels de l'écran. La réponse recommandée est 'N.
L'option « Event interface support » active la gestion des fichiers spéciaux /dev/input/eventN (où N est le numéro du périphérique), qui permettent de lire les événements provenant des périphériques d'entrée de manière générique. Ces fichiers peuvent être utilisés par plusieurs périphériques distincts, et permettent de connecter plusieurs périphériques d'entrée sur la même machine en les gérant de manière uniforme. La réponse recommandée est-elle 'Y'.
L'option « Event debugging » permet de générer des traces sur tous les événements qui se produisent au niveau des périphériques d'entrée. Ces traces ne sont utiles qu'aux développeurs des gestionnaires de périphériques d'entrée, et peuvent générer de grandes quantités d'informations dans les fichiers de traces. De plus, elles contiendront également les mots de passe et constituent donc un trou de sécurité important. La réponse recommandée est donc 'N'.
Les options qui suivent permettent d'activer des gestionnaires complémentaires pour les périphériques d'entrée. Vous trouverez en particulier les gestionnaires de périphériques pour les souris PS/2 et sérielles, ainsi que les gestionnaires pour les Joysticks et les Touchscreen. Vous devez activer les options correspondantes à votre matériel. Notez également que la prise en charge des claviers et des souris USB doit se configurer au niveau du menu « USB support » et ne peut être faite ici, même si les options précédentes restent nécessaires.
L'option « Miscellaneous devices » permet d'accéder aux options de configuration de gestionnaires de périphériques complémentaires, tels que celui permettant de contrôler le haut-parleur du PC (option « PC Speaker support ») et celui qui permet de relayer la gestion des périphériques d'entrées à des programmes utilisateurs (option « User level driver support »). La réponse recommandée est 'Y' pour l'option « PC Speaker support », et 'N' pour pour l'option « User level driver support ».
Ce sous-menu vous permettra de configurer les ports d'entrée/sortie matériel classiques.
L'option « Serial I/O support » permet de prendre en charge les périphériques d'entrée qui utilisent des communications avec l'ordinateur de type série. Cela comprend les claviers et les souris, aussi la réponse recommandée est-elle 'Y'.
L'option « i8042 PC Keyboard controller » permet de prendre en charge les controlleurs de claviers standards. Si votre clavier n'est pas USB, vous devez activer cette option. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Serial port line discipline » permet de prendre en charge les périphériques connectés sur un port série RS232. C'est en particulier le cas de vieilles souris sérielles et de joysticks. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « ct82c710 Aux port controller » permet de prendre en charge les souris connectées au port « QuickPort » des portables TravelMate de Texas Instrument. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Parallel port keyboard adapter » permet de prendre en charge les claviers ou souris connectés sur un adaptateur pour port parallèle. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « PCI PS/2 keyboard and PS/2 mouse controller » permet de prendre en charge les claviers et les souris PS/2 pour connecteurs PCI externes des stations d'attache des portables. Cette option n'est pas utile pour les ordinateurs normaux disposant de claviers ou de souris PS/2. La réponse recommandée est 'N.
L'option « PS/2 driver library » permet d'inclure dans le noyau les fonctions de gestion du port PS/2, pour qu'elles soient accessibles d'un pilote externe de périphérique PS/2. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Raw access to serio ports » permet l'accès brut aux périphériques auxilliaires connectés sur les ports PS/2 via des fichiers spéciaux de périphériques de numéro majeur égal à 10. Le premier de ces fichiers correspond au fichier spécial de périphérique /dev/psaux pour des raisons historiques. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Gameport support » active la gestion des ports pour Joystick classiques. Cette option vous donnera accès aux différents gestionnaires de périphériques pour ce type de port. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Virtual terminal » permet d'activer la gestion des terminaux virtuels multiples utilisés pour gérer plusieurs terminaux avec le clavier et l'écran local. Ces terminaux sont généralement accessibles avec les raccourcis CTRL+Alt+Fn. Ils sont très souvent utilisés, et il est vivement recommandé de répondre 'Y' à cette option. Si vous le faites, vous pourrez accéder à l'option « Support for console on virtual terminal », qui permet d'autoriser l'émission des messages de la console du noyau sur les terminaux virtuels. Encore une fois, cette fonctionnalité est très souvent utilisée, et il est recommandé de répondre 'Y'. L'option « Support for binding and unbinding console drivers » permet d'activer le support de la sélection de la console utilisée pour les terminaux virtuels, lorsque plusieurs consoles sont disponibles sur la machine. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Non-standard serial port support » permet d'activer les options correspondantes à des ports série non standards. Les sous-options de cette option permettent de configurer les gestionnaires de périphériques correspondants. La réponse recommandée est 'N'. Les gestionnaires de périphériques pour les ports série standards sont accessibles via le sous-menu « Serial drivers », décrit plus bas.
L'option « Unix98 PTY support » permet d'activer les pseudo-terminaux compatibles Unix 98. Les pseudo-terminaux sont des composants logiciels permettant d'émuler des terminaux. Il y a deux composants par pseudo-terminal : la partie maître est le programme qui cherche à accéder au pseudo-terminal, et la partie esclave est le programme qui simule le terminal physique. Les composants maîtres peuvent ouvrir le pseudo-terminal par l'intermédiaire des fichiers spéciaux /dev/ptyxx. Les composants esclaves doivent ouvrir le fichier spécial /dev/ptmx afin d'obtenir un numéro n de pseudo-terminal à utiliser, puis ils ouvrent le fichier /dev/pts/n. Ce dernier fichier spécial est créé à la volée par le noyau, grâce à un système de fichiers virtuel. Pour que ce mécanisme fonctionne, il faut donc que le système de fichiers /dev/pts/ ait été également activé dans les options de configuration des systèmes de fichiers, et qu'il soit monté (voir la configuration du fichier /etc/fstab). La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Legacy (BSD) PTY support » permet d'activer la gestion des pseudo-terminaux classique tels qu'ils sont utilisés sur les systèmes BSD. Ces pseudo-terminaux sont simplement accédés via des fichiers spéciaux de périphériques /dev/ttyxx, à raison d'un fichier par pseudo-terminal. Cette technique est obsolète depuis l'introduction des terminaux Unix98, que l'on peut activer avec l'option précédente. Toutefois, certains programmes peuvent ne pas avoir portés et ne pouvoir accéder que via cette ancienne interface. Dans ce cas, cette option devra être activée. Si vous répondez 'Y' à cette option, vous accéderez à l'option « Maximum number of legacy PTY in use », qui vous permettra de choisir le nombre de pseudo-terminaux que le système gèrera. La valeur par défaut est 256. La réponse recommandée à cette option est 'N'.
L'option « Parallel printer support » permet d'activer la gestion des imprimantes connectées sur port parallèle. Le fait d'activer cette option n'empêche pas d'utiliser le port parallèle pour d'autres périphériques. Il est recommandé d'activer cette option sous forme de module parce qu'ainsi, les fonctionnalités d'impression ne seront chargées que lorsque cela sera nécessaire. La réponse recommandée est donc 'M'.
L'option « Support for console on line printer » permet de rediriger les messages destinés à la console sur une imprimante connectée au port parallèle. Ces messages sont alors imprimés au fil de l'eau. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support for user-space parallel port device drivers » active la gestion du fichier spécial de périphérique /dev/parport, au travers duquel les programmes peuvent accéder de manière uniforme au port parallèle. Cette fonctionnalité n'est pas nécessaire pour utiliser une imprimante ou des périphériques ATAPI connectés sur port parallèle, aussi la réponse recommandée est-elle 'N'.
L'option « Texas Instruments parallel link cable support » permet de prendre en charge les connexions aux calculatrices Texas Instruments à l'aide d'un câble parallèle. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Xen Hypervisor Console support » permet de gérer la console virtuelle dans les machines virtuelles Xen. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Hardware Random Number Generator Core support » permet de prendre en charge les générateurs de nombres aléatoires matériels fournis sur les cartes mères récentes. Ces générateurs permettent d'obtenir des nombres aléatoires utilisés dans les algorithmes de chiffrement et de sécurité. Cette option vous donnera accès aux pilotes de périphériques pour les différents générateurs de nombres aléatoires supportés par Linux. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « /dev/nvram support » permet d'activer l'accès à la mémoire non volatile de l'horloge temps réel. Cette mémoire peut être accédée par l'intermédiaire du fichier spécial de périphérique /dev/nvram, de code majeur 10 et de code mineur 144. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Enhanced Real Time Clock Support » permet d'activer l'accès aux compteurs de l'horloge temps réel par l'intermédiaire du fichier spécial de périphérique /dev/rtc, de code majeur 10 et de code mineur 135. Cette option doit être activée si vous disposez d'une machine multiprocesseur. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Generic /dev/rtc emulation » permet de simuler l'interface /dev/rtc à l'horloge temps réel du système pour le cas où vous ne voudriez pas activer l'option précédente. L'option suivante permet de compléter l'émulation avec la prise en charge d'une opération complémentaire, qui peut être nécessaire pour certains programmes. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Extended RTC operation » permet de simuler une horloge temps réel plus évoluée que celle simulée par défaut grâce à l'option précédente. Certaines programmes peuvent avoir besoin des fonctionnalités avancées fournies par ces horloges. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Double Talk PC internal speech card support » permet d'activer la gestion du synthétiseur de voix Double Talk. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Siemens R3964 line discipline » active la gestion des synchronisations entre les périphériques utilisant le protocole de communication R3964 de Siemens. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Applicom intelligent fieldbus card support » active la gestion des cartes Applicom « intelligent fieldbus ». La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Sony Vaio Programmable I/O Control Device support » permet d'activer la gestion des contrôleurs d'entrée / sortie programmables des portables Sony Vaio. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « /dev/agpgart support (AGP support) » active la gestion des transferts de données accélérés par le bus AGP pour les pilotes de cartes graphiques. Ces transferts peuvent être pilotés au travers du fichier spécial de périphérique /dev/agpgart, de code majeur 10 et de code mineur 175. Cette fonctionnalité n'est pas nécessaire pour le bon fonctionnement des cartes graphiques AGP, mais elle permet d'accroître les performances des pilotes 3D. Elle est également indispensable pour permettre l'accès au registre MTRR du processeur permettant de contrôler le bus AGP. La réponse recommandée est 'Y' si vous disposez d'une carte graphique AGP, et 'N' sinon. Les options qui suivent permettent de sélectionner le type de chipset utilisé par la carte mère, afin de déterminer la manière dont le port AGP fonctionne. Si vous avez activé cette fonctionnalité, vous devez choisir l'option correspondant à votre chipset également.
L'option « Direct Rendering Manager (XFree86 4.1.0 and higher DRI support) » permet d'activer le support de l'architecture DRI (abréviation de l'anglais « Direct Rendering Infrastructure ») de XFree86 ou de X.org. La version fournie avec le noyau 2.6 nécessite l'utilisation de XFree86 en version 4.1 ou plus, ou de X.org en version 6.7 ou plus. Vous devrez sélectionner le type de carte graphique installé sur le système à l'aide des options suivantes. La réponse recommandée est donc généralement 'N', sauf si vous disposez d'une des cartes graphiques listées. Dans ce cas, vous devriez certainement utiliser XFree86 4.4.0 ou X.org 6.7, afin de bénéficier des gestionnaires de périphériques les plus récents. Notez enfin que certaines cartes graphiques 3D, bien que parfaitement supportées sous Linux, n'utilisent pas les fonctionnalités DRI du noyau. C'est en particulier le cas pour toutes les cartes graphiques à base de puce NVidia, pour lesquelles il faut utiliser le module fourni avec le pilote de NVidia. Vous pouvez donc répondre 'N' à cette question si vous disposez d'une telle carte graphique.
L'option « ACP Modem (Mwave) support » permet d'activer la prise en charge des Winmodems ACP (également connu sous le nom Mwave). De tels modems sont intégrés en particulier dans les Thinkpad 600E, 600 et 770 d'IBM. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « NatSemi PC8736x GPIO Support » permet d'autoriser l'accès depuis l'espace utilisateur aux ports d'entrée/sortie programmables des puces PC-8736x de National Semiconductor. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « NatSemi PC8736x GPIO Support » permet d'inclure un module facilitant l'accès aux ports d'entrée/sortie des puces PC8736X depuis l'espace utilisateur. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « AMD CS5535/CS5536 GPIO (Geode Companion Device) » permet d'autoriser l'accès depuis l'espace utilisateur aux ports d'entrée/sortie programmables des puces CS5535 et CS5536 Geode d'AMD. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « RAW driver (/dev/raw/rawN) (OBSOLETE) » permet d'accéder directement, sans copie de données lors des opérations d'entrée/sortie, aux périphériques de type bloc. Cet accès se fait via des fichiers de périphériques spéciaux /dev/raw/ dont les numéros de périphériques majeur et de mineurs sont identiques à ceux du fichier spécial de périphérique de type bloc ainsi manipulé. Cette option permet donc de réaliser des entrées / sorties de manière extrêmement performantes. Comme cette fonctionnalité n'est utilisable que par des applications particulières (en général des grosses bases de données), la réponse recommandée est 'N'. De plus, cette option est obsolète, car il est à présent possible d'accéder aux périphériques de manière directe avec les interfaces de programmation standards du système.
L'option « Maximum number of RAW devices to support (1-8192) » permet d'indiquer le nombre maximum de périphériques bruts pris en charge par le noyau. La réponse recommandée est '256'.
L'option « HPET - High Precision Event Timer » permet d'activer la gestion des timers à haute précision de Linux. Ces timers seront accessibles via le fichier spécial de périphérique /dev/hpet. Cette option vous donnera également accès aux options « HPET Control RTC IRQ » et « Allow mmap of HPET », qui permettent respectivement de désactiver la gestion de l'interruption du timer système par le timer et de désactiver la projection en mémoire de ce fichier. Cette dernière option doit être désactivée pour certains types de matériel, car ceux-ci exposent trop d'informations à l'utilisateur via cette interface. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Hangcheck timer » permet d'activer un chien de garde permettant de déterminer si le système est bloqué depuis un temps trop long et, si tel est le cas, de le redémarrer ou afficher un message de trace. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Telecom clock driver for MPBL0010 ATCA SBC » permet d'activer une interface spécifique aux ordinateurs MPBL0010 ATCA permettant d'accéder à la configuration d'une horloge pour les télécommunications. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « 8250/16550 and compatible serial support » du sous-menu « Serial drivers » permet d'activer la prise en charge des ports série standards. Vous pouvez vous en passer si vous n'avez ni modem ni souris série, et si vous ne désirez pas utiliser le port série du tout. Il est recommandé de répondre 'Y' à cette question.
L'option « Console on 8250/16550 and compatible serial port » permet d'activer la redirection de la console système sur un port série. En général, la console est redirigée vers le terminal principal, aussi la réponse recommandée à cette question est-elle 'N'.
L'option « 8250/16550 PCI device support (NEW) » permet de prendre en charge les ports série connectés aux bus PCI. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « 8250/16550 PNP device support (NEW) » permet de prendre en charge les ports série Plug and Play des PC standards. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « 8250/16550 PCMCIA device support » permet de prendre en charge les ports série connectés via un adaptateur PCMCIA. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Maximum number of non-legacy 8250/16550 serial ports » permet d'indiquer le nombre maximum de ports série additionnels que Linux doit prendre en charge. La réponse recommandée est '4'.
L'option « Number of 8250/16550 serial ports to register at runtime » permet d'indiquer le nombre de ports séries qui seront activés dans le noyau au démarrage. La réponse recommandée est '4'.
L'option « Extended 8250/16550 serial driver options » permet d'activer les options de configuration étendues pour les ports série classiques. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support more than 4 legacy serial ports » permet d'indiquer que l'ordinateur dispose de plus de quatre ports série livrés en standard. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support for sharing serial interrupts » permet d'activer la gestion des interruptions de plusieurs ports série d'une même carte par un seul canal d'interruption. Il faut que la carte série gère le partage des interruptions pour pouvoir utiliser cette option. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Autodetect IRQ on standard ports (unsafe) » permet de demander au noyau de tenter une détection automatique de la ligne d'interruption utilisée par les ports série. Cette fonctionnalité n'est pas très sûre et la réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support RSA serial ports » n'est pas documentée et ne sera pas décrite ici.
L'option « Support 8250-type ports on MCA buses » permet de prendre en charge les ports série sur les bus MCA. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Digi International NEO PCI Support » permet de prendre en charge les cartes multiport de la série NEO de Digi International. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « IPMI top-level message handler » permet de prendre en charge la surveillance des capteurs du système (température, voltage, etc.). Les options qui suivent permettent de configurer les fonctionnalités de ce driver. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Watchdog Timer Support » permet d'activer la détection des blocages systèmes grâce à un chien de garde. Le chien de garde exige un accès en écriture sur le fichier spécial de périphérique /dev/watchdog, de code majeur 10 et de code mineur 130, au moins une fois par minute. Si cette condition n'est pas vérifiée, la machine est redémarrée automatiquement. La gestion de cette fonctionnalité peut être réalisée matériellement grâce à une carte spéciale, ou logiciellement. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Disable watchdog shutdown on close » permet de maintenir l'activité du chien de garde même si le processus qui le réveille régulièrement ferme le fichier /dev/watchdog. Ce n'est pas le cas si la réponse 'N' est donnée, dans ce cas, le chien de garde ne fonctionnera plus en cas d'arrêt du processus de surveillance. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Software Watchdog » permet d'activer la gestion du chien de garde logiciel. La réponse recommandée est 'N'.
Les options qui suivent permettent de sélectionner les gestionnaires de chien de garde pour les différents types de cartes mères disposant d'un chien de garde matériel. Vous devez activer l'option correspondant à votre matériel si vous désirez utiliser cette fonctionnalité.
Les options de ce menu permettent d'activer la gestion des cartes PCMCIA de type série, comme les modems, les ports série et les cartes réseau intégrant un modem. La réponse recommandée à ces options est 'N'.
Les options de ce menu permettent d'activer la gestion des puces cryptographiques compatibles avec les spécifications TCG (ex TCPA). Ces puces ont pour but d'authentifier le matériel et de permettre la fourniture d'un environnement logiciel authentifié et reconnu par les éditeurs de contenu afin de garantir que les données protégées par des droits d'auteurs stricts ne pourront pas être lues en dehors du cadre imposé par l'éditeur. Cette technique suppose que les logiciels et les systèmes soient fermés, et ne peut donc pas utilisés sous Linux sans violer la licence GPL. De ce fait, l'accès à ces puces est inutile, et ces puces ne seront généralement pas utilisées pour les tâches pour lesquelles elles ont été introduites. La réponse recommandée à ces options est donc 'N'.
L'option « I2C support » permet d'activer la gestion du protocole de communication I2C. Ce protocole de communication est utilisé par beaucoup de micro-contrôleurs, et peut être nécessaire pour accéder à certaines fonctionnalités. En particulier, les cartes d'acquisition TV basées sur les puces électroniques Bt848 nécessitent cette fonctionnalité pour être utilisables. Les capteurs matériels permettant de déterminer l'état du système utilisent également cette inteface. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « I2C device interface » active la gestion des fichiers spéciaux de périphériques /dev/i2c-*. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « I2C bit-banging interfaces » active la gestion des adaptateurs « bit-banging ». Cette option est nécessaire pour faire fonctionner les cartes d'acquisition TV basées sur les puces électroniques Bt848. La réponse recommandée est 'N', sauf si vous disposez d'une telle carte. Les options suivantes activent la gestion des périphériques utilisant cette interface. Il n'est pas nécessaire de les activer pour faire fonctionner les cartes d'acquisition TV à base de Bt848. La réponse recommandée pour ces options est 'N'.
L'option « I2C PCF 8584 interfaces » active la gestion des adaptateurs PCF. Les options suivantes permettent d'activer les périphériques utilisant cette interface. Les réponses recommandées à ces questions sont 'N'.
L'option « I2C PCA 9564 interfaces » active la gestion des adaptateurs PCA. Les options suivantes permettent d'activer les périphériques utilisant cette interface. Les réponses recommandées à ces questions sont 'N'.
Les sous-menus « I2C Hardware Bus support » et « Miscellaneous I2C Chip support » permettent de prendre en charge les divers capteurs I2C présents sur les systèmes modernes. Vous devez activer les options correspondantes à votre matériel si vous désirez utiliser cette fonctionnalité.
Les options « I2C Core debugging messages », « I2C Algorithm debugging messages », « I2C Bus debugging messages » et « I2C Chip debugging messages » permettent d'activer la génération de messages de trace complémentaires relatives aux fonctionnalités I2C. La réponse recommandée pour ces questions est 'N'.
L'option « SPI support » active la prise du protocole de communication synchrone SPI, couramment utilisé pour accéder à des capteurs et à des mémoires programmable et flash. Les options fournies permettent d'activer les différents types de puces ainsi accessibles. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Dallas's 1-wire support » active la prise en charge de périphériques à une broche relativement lents tels que des capteurs de températures. Les options fournies permettent d'activer les différents types de périphériques. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Power supply class support » active la prise en charge de la surveillance des sources d'énergie (batteries, alimentation, ports USB, etc.). Notez que ce pilote n'est généralement pas nécessair pour obtenir les informations sur les batteries des ordinateurs portables, pour lesquelles l'ACPI est utilisé. Il s'agit ici de prendre en charge les batteries des périphériques spécifiques tels que les PDA par exemple. Si vous activez cette option, vous pourrez accéder aux options des pilotes de périphériques gérant les différentes sources d'énergie. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Power supply debug (NEW) » permet d'activer les traces de déboguage du sous-système de gestion des sources d'énergie. La réponse recommandé est 'N'.
L'option « Hardware Monitoring support » active la prise en charge de la surveillance du bon fonctionnement du matériel de l'ordinateur. La plupart des ordinateurs disposent à présent de capteurs pour mesurer la température, les tensions, la vitesse des ventilateurs, etc. Cette option vous donnera à la liste des pilotes pour les différentes cartes mères. Notez que l'accès à ces pilotes nécessite également que l'option « I2C support » soit activée. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Hardware Monitoring Chip debugging messages » permet d'activer les traces de déboguage du sous-système I2C pour les pilotes de surveillance du matériel. La réponse recommandé est 'N'.
Ce menu donne accès aux options permettant d'activer la prise en charge de différents périphériques multifonctions. Ces périphériques fournissent des fonctionnalités diverses telles qu'un adaptateur USB pour périphérique USB, des ports série asynchrones, des fonctionnalités audio ou vidéo. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Video For Linux » permet d'activer les options de gestion de la vidéo et de radio sous Linux. Il faut activer cette option pour accéder aux sous-menus suivants, qui permettent de choisir les pilotes adaptés au type de matériel vidéo installé et les options de configuration pour certains de ces pilotes. La réponse recommandée est 'N'. Si vous activez cette option, vous aurez la possibilité d'activer l'interface de programmation Video For Linux version 1 avec l'option « Enable Video For Linux API 1 (DEPRECATED) » ou, à défaut, une couche de compatiblité pour les pilotes de périphériques qui l'utilisent encore, via l'option « Enable Video For Linux API 1 compatible Layer ». Comme de nombreux périphériques utilisent encore cette version de l'interface Video For Linux, la réponse recommandée est 'Y'.
L'option « DVB For Linux » permet d'activer les options des gestionnaires de périphériques des adaptateurs TNT sous Linux. Vous devez activer le pilote correspondant à votre matériel. La réponse recommandée à ces questions est 'N'.
L'option « DAB driver » permet de prendre en charge les récepteurs audio digital. La réponse recommandée est 'N'.
Les options de ce menu permettent de choisir les pilotes pour les différents types de cartes d'acquisition vidéo. Vous devez activer la fonctionnalité correspondant au matériel dont vous disposez. En général, il est recommandé d'utiliser les pilotes sous forme de modules, car certains d'entre eux ne sont pas capables de faire la distinction entre les différents modèles de cartes qui utilisent la même électronique, et il faut leur communiquer ces informations sous la forme de paramètres lors de leur chargement. C'est en particulier le cas pour les cartes vidéo basées sur la puce électronique Bt848 et les puces qui en sont dérivées.
Les options proposées par ce menu vous permettront d'activer les pilotes pour les différentes cartes radio supportées par Linux. Vous devez activer le pilote correspondant à votre matériel, et éventuellement spécifier les paramètres matériels de cette carte. La réponse recommandée à ces questions est 'N'.
L'option « Lowlevel video output switch controls » permet de prendre en charge le pilote bas niveau de gestion des sorties vidéo. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support for frame buffer devices » permet d'activer le support des cartes graphiques par l'intermédiaire d'une interface unifiée et d'une zone mémoire nommée « frame buffer », accessible via les fichiers spéciaux /dev/fb*. Cette interface permet aux programmes d'accéder aux fonctionnalités des cartes graphiques de manière portable. Le support de cette fonctionnalité n'est en général pas nécessaire pour les PCs, puisque beaucoup de serveurs X ont été développés pour cette plate-forme et que, dans le pire des cas, un serveur X basé sur le standard VESA 2.0 est disponible. Cependant, pour les autres plates-formes, ou si vous disposez d'une carte graphique exotique, il peut être utile d'activer cette fonctionnalité et d'utiliser un serveur X basé sur cette interface. Les options qui suivent permettent d'inclure les pilotes pour différentes cartes graphiques. Vous trouverez de plus amples informations sur ces options dans la huitième partie de ce document. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Enable firmware EDID » permet d'accéder à l'identifiant de périphérique EDID remonté par le firmware pour l'écran. Dans le cas des PC, cet identifiant est remonté par le BIOS. Cette option peut être utile si un pilote framebuffer ne parvient pas à obtenir cet identifiant en interrogeant l'écran. Cette option n'est pas nécessaire pour l'utilisation de l'environnement graphique X11, donc la réponse recommandée est 'N'.
Le sous-menu « Console display driver support » permet de choisir les gestionnaires de périphériques pour la console de Linux, c'est-à-dire l'affichage en mode texte. Sur les PCs, le gestionnaire le plus efficace et le plus performant est celui utilisé pour gérer les cartes VGA, aussi est-il systématiquement sélectionné. Il donne accès à l'option « Enable Scrollback Buffer in System RAM », qui permet de mémoriser les pages texte en mémoire vive et non dans la mémoire de la carte graphique, et donc d'avoir une mémoire plus importante pour faire un défilement arrière en mode console. L'option « Video mode selection support », quant à elle permet de choisir le mode texte à utiliser au démarrage de Linux. Ce mode peut être indiqué grâce à un paramètre passé au noyau lors du démarrage. La réponse recommandée pour ces deux options est 'Y'.
Il existe également un gestionnaire pour les cartes graphiques MDA (ce sont des cartes extrêmement vieilles), qui peut être activé à l'aide de l'option « MDA text console (dual-headed) (EXPERIMENTAL) ». Ce gestionnaire permet également de disposer d'un second affichage en mode texte, si l'on installe la carte MDA en parallèle de la carte VGA du PC. Cette option ne doit être choisie que si la carte MDA n'est pas la carte d'affichage principale. La réponse recommandée est 'N'.
Le sous-menu « Backlight & LCD device support » permet de configurer les pilotes de contrôle de la lumière de rétroéclairage des écrans à LCD de certaines machines, telles que les PDA. Les sous-options de ce menu permettent de sélectionner les fonctionnalités prise en charge par ces pilotes. La réponse recommandée est 'N'.
Le sous-menu « Display device support » permet de configurer les pilotes de contrôle de la puissance des périphériques d'affichage de certaines plateformes. La réponse recommandée est 'N'.
Le sous-menu « Console display driver support » permet également d'utiliser le gestionnaire de périphérique du frame buffer pour la console, si l'option « Support for frame buffer devices » a été activée. Pour cela, il suffit d'activer l'option « Framebuffer Console support ». Cette option donnera la possibilité d'inclure une police de caractères graphique pour la console, à l'aide de l'option « Select compiled-in fonts ». Encore une fois, ces options ne sont pas nécessaires pour gérer correctement la console sur les ordinateurs de type PC.
Le sous-menu « Bootup logo » permet d'utiliser un logo représentant Tux au démarrage, si la fonctionnalité de frame buffer a été activée. Pour cela, il faut activer l'option « Bootup logo » et choisir un des logos proposés parmi les options suivantes. Cette fonctionnalité étant absolument indispensable pour la bonne marche de votre système et la sécurité de vos données, vous devez impérativement l'activer et admirer le magnifique Tux !
L'option « Sound card support » permet d'activer la gestion des cartes son. Si vous ne disposez pas de carte son, choisissez la réponse 'N', sinon, activez cette fonctionnalité. Elle vous permettra de choisir parmi les deux jeux de drivers pour les cartes son dont dispose Linux actuellement. Les pilotes les plus performants sont sans aucun doute les drivers ALSA (« Advanced Linux Sound Architecture », mais vous aurez peut-être à utiliser les drivers OSS (« Open Sound System ») pour certaines cartes son.
Les drivers ALSA seront choisis de préférence en activant l'option « Advanced Linux Sound Architecture ». Cependant, l'interface de programmation des drivers OSS étant très utilisée, on veillera à activer les options de compatibilité « OSS Mixer API », « OSS PCM (digital audio) API », et « OSS Sequencer API ».
L'option « Sequencer support » permet de prendre en charge le séquenceur ALSA pour la gestion des fichiers MIDI. Elle vous permettra d'accéder à l'option « Sequencer dummy client », qui permet de gérer un simple client transférant les événements MIDI d'une entrée vers une sortie. La réponse recommandée est 'Y' pour ces deux questions.
L'option « RTC Timer support » permet de faire en sorte que les gestionnaires de carte son ALSA utilise l'horloge matérielle de l'ordinateur pour les opérations de séquencement demandant une grande précision. Il est recommandé d'activer cette fonctionnalité, ainsi que sa sous-option « Use RTC as default sequencer timer ».
L'option « Dynamic device file minor numbers » permet de faire en sorte que les numéros de périphériques mineurs des fichiers de périphériques des cartes son sont alloués dynamiquement. Cela permet d'avoir plus de huit cartes son connectées, mais requiert l'utilisation du gestionnaire de périphériques en mode utilisateur udev. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support old ALSA API » permet de prendre en charge l'ancienne interface de programmation d'ALSA (interface utilisée jusqu'à la version 0.9.0 rc3 comprise). Cette interface peut encore être utilisée par certains programmes, aussi la réponse recommandée est-elle 'Y'.
L'option « Verbose procfs contents » permet de peupler le système de fichiers virtuel /proc/ avec des entrées complémentaires permettant d'obtenir des informations sur les périphériques audio. Ces entrées ne sont essentiellement utiles que pour les développeurs du noyau, aussi la réponse recommandée est-elle 'N'.
L'option « Verbose printk » et les options de débogage introduites par l'option « Debug » permettent de faciliter le diagnostic et le débogage des gestionnaires ALSA. Il n'est pas nécessaire de les activer en temps normal, aussi la réponse recommandée est-elle 'N'.
L'option « Debug » permet d'inclure du code de déboguage dans le sous-système ALSA. Elle vous donnera accès à des sous-options permettant de spécifier la portée des tests effectués par ce code. Ce code n'est réellement utile que pour les développeurs du noyau, pour déboguer les pilotes de périphérique ALSA. La réponse recommandée est 'N'.
Les options qui suivent permettent de sélectionner les gestionnaires de périphériques pour le matériel installé. Ces gestionnaires sont classés par type d'interface (périphériques virtuels ou logiciels, cartes ISA ou PCI, appareils connectés par un port USB ou PCMCIA) dans les sous-menus correspondants. Vous devez bien entendu activer la prise en charge des gestionnaires de périphériques pour le matériel disponible dans votre ordinateur. Notez que les périphériques proposés dépendent de la prise en charge des bus correspondants. En particulier, les périphériques audio USB ne seront accessibles que si vous activer le support de l'USB dans le menu « USB support » ainsi que le support des périphériques audio USB (option « USB Audio/MIDI driver »).
L'option « Open Sound System (DEPRECATED) » permet d'activer la prise en charge des anciens pilotes OSS. Elle donne accès à deux jeux de pilotes, dont les pilotes OSS eux-mêmes. Les différentes options proposées permettent de sélectionner les gestionnaires de périphériques pour les différents matériels supportés.
Notez que le gestionnaire de périphériques pour le mixer intégré des cartes d'acquisition TV basées sur la puce Bt848 se situe parmi les pilotes OSS (option « TV card (bt848) mixer support »). Vous devez donc l'intégrer sous forme de module si vous disposez d'une telle carte. Il n'est pas nécessaire si vous utilisez les pilotes ALSA.
L'option « Generic HID support » permet de prendre en charge les fonctionnalités génériques de l'interface homme/machine du noyau, qui sont utilisées par les gestionnaires de périphériques d'entrée/sortie USB ou Bluetooth. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « USB Human Interface Devices (full HID) support » permet d'activer la prise en charge des périphériques d'entrée et de saisie tels que les claviers, souris et tablettes de digitalisation. Ce pilote gère complètement les périphériques d'entrée USB, et est incompatible avec les pilotes simplifiés pour le clavier et la souris, que l'on peut activer avec les options « USB HIDBP Keyboard (simple boot) support » et « USB HIDBP Mouse (simple boot) support » du sous-menu « USB HID Boot Protocol drivers ». La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Force feedback support (EXPERIMENTAL) » permet d'activer la gestion des périphériques à retour de force tels que certains joysticks. Cette option vous donnera accès à des options complémentaires permettant de sélectionner les gestionnaires de périphériques appropriés. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « /dev/hiddev raw HID device support (EXPERIMENTAL) » permet de prendre en charge les périphériques d'entrée USB qui ne sont pas des périphériques utilisés par l'utilisateur directement, mais plutôt pour signaler des événements complémentaires (comme des moniteurs d'alimentation par exemple). La communication avec ces périphériques se fera par l'intermédiaire de fichiers spéciaux de périphériques /dev/usb/hiddevX complémentaires, tous de code majeur 180 et de codes mineurs allant de 96 à 111. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « USB HIDBP Keyboard (simple boot) support » permet d'activer un pilote simplifié pour les claviers USB. Ce pilote peut être utilisé pour alléger le noyau dans les systèmes embarqués, mais ne gère pas toutes les touches des claviers étendus. Cette option est incompatible avec l'option « USB Human Interface Device (full HID) support » et n'est présentée que si cette dernière est désactivée. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « USB HIDBP Mouse (simple boot) support » permet d'activer un pilote simplifié pour les souris USB. Ce pilote peut être utilisé pour alléger le noyau dans les systèmes embarqués. Cette option est incompatible avec l'option « USB Human Interface Device (full HID) support » et n'est présentée que si cette dernière est désactivée. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support for Host-side USB » permet de prendre en charge les périphériques USB de votre ordinateur sous Linux. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « USB verbose debug message » permet de demander aux gestionnaires de périphériques USB d'envoyer des informations de débogage dans les fichiers de traces du système. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « USB device filesystem » active la gestion des informations sur les ports USB dans le système de fichiers virtuels /proc/. Ces informations comprennent en particulier la liste des périphériques connectés sur le bus USB. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « USB device class-devices (DEPRECATED) » permet d'exposer les informations sur les périphériques USB selon un ancien formalisme désormais obsolète. Ce formalisme peut toutefois encore être utilisé par les utilitaires en espace utilisateur tels que le sous-système de gestion des périphériques udev et la bibliothèque libusb. Il est donc conseillé d'activer cette option le temps que les distributions aient été mises à jour. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « Dynamic USB minor allocation (EXPERIMENTAL) » active l'allocation dynamique de numéro de périphérique mineur pour les périphériques USB. Cela permet de gérer un grand nombre de périphériques du même type. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « USB selective suspend/resume and wakeup (EXPERIMENTAL) » active la gestion de l'alimentation pour les périphériques USB. Cela permet de suspendre et de redémarrer les périphériques USB individuellement. Cette fonctionnalité est expérimentale et peut ne pas fonctionner correctement pour l'instant. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « USB device persistence during system suspend (DANGEROUS) » permet de faire en sorte que les périphériques USB attachés au système lors de sa mise en veille, qu'elle soit prolongée ou non, disposent des mêmes identifiants lors du réveil. Cette option est très dangereuse et ne doit pas être utilisée si les périphériques peuvent être interchangés pendant la veille de l'ordinateur. La réponse recommandée est 'N'.
Les options suivantes (« EHCI HCD (USB 2.0) support », « ISP116X HCD support » , « OHCI HCD support » , « UHCI HCD (most Intel and VIA) support » , « SL811HS HCD support » et « R8A66597 HCD support » permettent d'inclure les pilotes pour les différents types de contrôleurs USB. La plupart des machines utilisent un contrôleur UHCI (abréviation de l'anglais « Universal Host Controller Interface ») ou un contrôleur OHCI (abréviation de « Open Host Controller Interface »). Les contrôleurs UHCI sont fabriqués par Intel et VIA essentiellement, alors que les contrôleurs OHCI sont présents sur les chipsets non-Intel (Compaq, SiS, Aladdin). Vous devez choisir le pilote approprié au chipset de votre carte mère. Notez que la prise en charge de l'USB 2.0 n'est pas exclusive de celle de l'USB classiques, les contrôleurs USB 2.0 étant généralement fournis avec des contrôleurs USB auxiliaires permettant d'accéder aux périphériques USB 1.0. Les gestionnaires de périphérique pour les contrôleurs USB 2.0 ne prenant en charge que les contrôleurs USB 2.0, vous devrez également inclure le gestionnaire de périphériques adéquat pour vos périphériques USB classiques si vous désirez y accéder.
L'option « USB Modem (CDC ACM) support » permet de prendre en charge les modems analogiques et Numéris utilisant l'interface CDC ACM (abréviation de l'anglais « Communication Device Class Abstract Control Model ») connectés sur le port USB. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « USB Printer support » active la gestion des imprimantes connectées sur le port USB. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « USB Mass Storage support » active la gestion des périphériques USB de masse (lecteurs de CD, clefs USB, etc.) ainsi que de la plupart des appareils photos USB, dont les mémoires flash sont accessibles comme des périphériques de masse. La réponse recommandée est 'Y'.
L'option « USB Mass Storage verbose debug » permet de demander au gestionnaires de périphériques USB de masse de générer des messages de débogage dans les fichiers de traces du système. La réponse recommandée est 'N'.
Les options qui suivent permettent d'activer les gestionnaires de périphériques pour les périphériques de stockage supportés par Linux. Notez qu'il n'est pas nécessaire de disposer d'un gestionnaire de périphériques pour accéder aux clefs USB et à la plupart des appareils photos. La réponse recommandée pour ces options est donc 'N', sauf si vous disposez d'un de ces appareils.
Viennent ensuite les options permettant de sélectionner les gestionnaires de périphériques pour de nombreux périphériques tels que les appareils photos et les caméras USB, les clefs USB ou les adaptateurs réseau. Vous devez activer ces options pour les périphériques que vous possédez, ou les activer sous la forme de module du noyau. La réponse recommandée est 'M'.
L'option « USB Monitor » permet d'activer une fonctionnalité de surveillance et de capture des messages échangés sur le bus USB. Cette fonctionnalité n'est utile que pour les développeurs, afin de mettre au point les pilotes des périphériques USB. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « USS720 parport driver » permet de prendre en charge les adaptateurs USB pour port parallèle basés sur la puce USS-720 de Lucent Technologies. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « USB Serial Converter support » du sous-menu « USB Serial Converter support » active la prise en charge des périphériques USB basés sur une interface série classique. Elle donne accès à un certain nombre de gestionnaires de périphériques, pour la plupart des périphériques série connectables sur un port USB. La réponse recommandée est 'N.
Un certain nombre d'option suivent pour prendre en charge des périphériques USB divers et variés (LED, thermomètres, dongle, afficheurs, lecteurs d'empreintes, etc.). La réponse recommandée est 'N.
L'option « USB DSL modem support » permet d'activer la prise en charge des modems ADSL USB. Cette option vous donnera accès aux différents pilotes disponibles pour ces modems. Remarquez que cette option et ces pilotes ne sont pas nécessaires pour les modems ADSL qui simulent une interface Ethernet, et pour lesquels on utilisera plutôt l'option « CDC Ethernet support (smart devices such as cable modems) ». La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support for USB Gadgets » du sous-menu « USB Gadget Support » permet d'activer la prise en charge du port USB par Linux pour les périphériques (c'est-à-dire du point de vue opposé à celui de l'ordinateur auquel on connecte ces périphériques). Cette option n'est utile que pour ceux qui réalisent des périphériques USB avec un système Linux embarqué. La réponse recommandée est donc 'N'.
L'option « MMC support permet de prendre en charge les cartes multimédia MMC. Elle vous donnera accès aux options de configuration de ces cartes. Notez que l'utilisation de ces cartes au travers de lecteurs de cartes connectés sur les ports USB ne nécessite pas d'activer les fonctionnalités de ce menu. Seules l'option « USB Mass Storage support » du menu « USB support » est utile dans ce cas. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « LED support » permet de prendre en charge les diodes électroluminescentes complémentaires que l'on trouve sur certains ordinateurs. Cette option vous permettra de contrôler l'affichage de ces diodes au niveau de l'espace utilisateur, ainsi qu'au niveau du noyau au moyen de pilotes accessibles via les options suivantes de ce menu. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « InfiniBand support » permet de prendre en charge les périphériques InfiniBand. Elle vous donnera accès aux options de configuration de cette technologie. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « EDAC core system error reporting (EXPERIMENTAL) » vous permettra d'activer les fonctions de détection et de signalement des erreurs matérielles. Les gestionnaires de périphériques que vous trouverez dans ce menu correspondent aux différents périphériques capables de signaler les erreurs matérielles, essentiellement des chipsets pour les barettes mémoire. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « RTC class » permet de configurer les horloges temps-réel supplémentaires que l'on trouve sur certaines machines. Les options suivantes permettent d'activer les interfaces utilisateurs utilisables pour ces horloges, ainsi que les gestionnaires de périphériques correspondant au matériel installé. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Support for DMA engines » permet d'accéder aux gestionnaires de périphériques de type DMA. Ces périphériques peuvent prendre en charge certains transferts de données entre la mémoire et des périphériques, déchargeant ainsi le processeur central de cette tâche. Actuellement, la seule utilisation possible de cette technique est le transfert de données entre les cartes réseau et les couches réseau de Linux. Les options suivantes permettent donc de configurer ces fonctionnalités. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Auxiliary Display support » permet d'accéder aux gestionnaires de périphériques d'afficheurs de type LCD. Ce menu vous donnera accès aux options des gestionnaires de périphérique des différents afficheurs pris en charge. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Kernel-based Virtual Machine (KVM) support » permet de prendre en charge les fonctionnalités de paravirtualisation en tant que système d'exploitation hôte des systèmes virtualisés. Cette option permet aux logiciels de virtualisation d'accéder aux fonctions de virtualisation des processeurs AMD ou Intel récents. Les options suivantes permettent de choisir le type de processeur dont vous disposez : choisissez l'option « KVM for Intel processors support » si vous disposez d'un processeur Intel, ou l'option « KVM for AMD processors support » si vous disposez d'un processeur AMD. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Userspace I/O drivers » permet d'autoriser la prise en charge des pilotes de périphériques fonctionnant en espace utilisateurs. La plupart des pilotes de périphériques sont intégrés dans le noyau à l'exécution, directement ou en tant que module, mais il est également possible de faire fonctionner des pilotes de périphériques plus spécifiques dans un processus classique grâce à cette option. Peu de pilotes ont recours à cette technique toutefois, essentiellement pour des raisons de performances et des raisons historiques. Cette option vous donnera accès à d'autres options permettant de prendre en charge des pilotes de périphériques en espace utilisateur. La réponse recommandée est 'N'.
L'option « Linux hypervisor example code (NEW) » permet d'activer une fonction de virtualisation spécifique à Linux, grâce à laquelle il est possible de faire fonctionner plusieurs noyaux sur Linux sur la même machine. Cette fonction n'est disponible que pour les processeurs de type x86, si le mode d'adressage étendu n'a pas été activé, mais elle ne nécessite pas les extensions au jeu d'instructions x86 introduites par Intel et AMD sur les processeurs récents. Il est également nécessaire que l'option « Paravirtualization support (EXPERIMENTAL) » du menu « Processor type and features » ait été activé pour pouvoir activer cette fonctionnalité. La réponse recommandée est 'N'.
Précédent | Sommaire | Suivant |
Menu « Networking » | Niveau supérieur | Menu « File systems » |